CATALOGUE DES OEUVRES
Daria Gamsaragan

Daria Gamsaragan a découvert son don pour la sculpture à Alexandrie, dans l’atelier du peintre Constant et de sa femme Ida. En modelant de ses mains et sans aucune initiation préalable, un bloc de plastiline, elle a réussi à faire le portrait saisissant de vérité d’un passant qui a accepté de poser pendant environ une heure, un après-midi où les cours de peinture n’avaient pas lieu. Depuis ce jour, la sculpture a été sa passion et son mode d’expression préféré.

 

Dans ses archives nous avons retrouvé des preuves de 56 expositions ou présentations de ses œuvres entre 1926 et 1985. Les preuves sont des cartons d’invitation, des dépliants d’expositions ou des articles de presse. Dès 1926, toujours en cours de formation à l’atelier Bourdelle, elle présente ses œuvres au Salon des Tuileries. On retrouve son nom dans le catalogue de l‘époque, ainsi que celui de A. Giacometti, son collègue d’atelier. C’est la même chose au salon de Tuileries en 1928.  Daria Gamsaragan a été abonnée pendant toutes ces années à « L’Argus de la Presse » qui lui a transmis les coupures de journaux à chaque fois que son nom était mentionné. On est d’abord frappé par la grande variété des journaux dans lesquels il existait des rubriques régulières sur l’art et sur les artistes contemporains. Ce qui caractérise les expositions, collectives ou individuelles, de Daria Gamsaragan, c’est en premier lieu le fait qu’elle ait régulièrement exposé en Egypte, au Caire ou à Alexandrie, et à Paris. Les sculptures ont traversé la Méditerranée par bateau dans un sens ou dans l’autre ! Son attachement à son Egypte natal était réel et elle a tenu à y être connue. Les articles parus dans journaux égyptiens suivent son évolution artistique avec une grande attention et présentent son œuvre dans des analyses témoignant d’une grande sensibilité. En 1937, Daria Gamsaragan a obtenu la Médaille d’Or à la célèbre Exposition Internationale des Arts et Techniques de Paris au nom de l’Egypte. A Paris, Daria Gamsaragan est restée fidèle aux Salons des Tuileries, auxquels elle a participé sept fois, ainsi qu’à d’autres Salons. Elle a organisé dans différentes galeries six expositions personnelles à Paris et au Caire.

 

Les expositions se suivent à des rythmes d’une à cinq par an, jusqu’à 1940. Il y a ensuite une longue interruption jusqu’au Salon d’Automne de 1946. C’est la guerre et l’occupation allemande. Quelles galeries exposaient à cette époque ? Pour quel public ? Avec quelles directives ?  Ces années-là, Daria Gamsaragan a travaillé isolée et son art a beaucoup évolué. En 1950, elle présente une exposition personnelle importante qui marque une rupture dans son style. Tout au long de sa carrière, Daria Gamsaragan a eu de nombreuses et excellentes critiques dans les journaux qui ont présenté des photos de ses sculptures dans leurs articles et même en première page. Paris était bien son point d’ancrage et l’endroit où sa carrière a pris forme. Daria Gamsaragan s’est fait connaître aussi auprès de la communauté arménienne à Paris et au Caire. Elle a aussi participé à une exposition importante d’art organisée à New York par AGBU en 1982 (Union Générale Arménienne de Bienfaisance (UGAB) ou The Armenian General Benevolent Union (AGBU)).

 

On ne trouve pas la trace d’œuvres de Daria Gamsaragan proposées à la vente aux enchères.

1. Juin 1926, Salon des Tuileries, Paris

Catalogue Salon des Tuileries 1926 Couverture

Catalogue Salon 1926 lettre G(Giacometti)

Catalogue Salon des Tuileries 1926 à la lettre G (Gamsaragan)

Mensuel Montparnasse, critique du Salon de Tuileries 1926

 

Daria Gamsaragan, tout juste élève de A. Bourdelle, expose "une bonne Tête de Soudanais" et "une femme assise" dont il est écrit "la tête surtout est d'un excellent sentiment, l'attitude du buste, le dos, les bras forment de bons morceaux". L’image de Daria Gamsaragan avec cette sculpture de la femme assise est montrée dans le fichier « Ateliers », sans que l’on sache à quel endroit la photo a été prise et dans que l’atelier la sculpture fut créée.

Mensuel Montparnasse Salon des Tuileries 1926 - 2

2. Mai 1928, Salon des Tuileries, Paris

Catalogue Salon des Tuileries 1928 Couverture

Catalogue Salon des Tuileries 1928 lettre G(Giacometti)

Catalogue Salon des Tuileries 1928 lettre G (Gamsaragan)

Salon des Tuileries, 1928. Extrait de l'Argus de la presse "Art et décoration" 1er Juillet 1928 : « les figurines orientales de Daria Gamsaragan » sont mentionnées.

3. 1929, Daria Gamsaragan et Nersès Bartau, Galerie MMM Le Caire, Egypte

Exposition à la Galerie MMM Le Caire, Daria Gamsaragan et Nersès Bartau, 1929. Extrait de la Bourse Egyptienne, critique signée C. Naaman.

4. Janvier 1930, S.Neroni et Daria Gamsaragan, Cercle Italien d’Alexandrie, Egypte

Affiche de la 2ème Exposition du peintre S. Neroni et la 1ère exposition de Daria Gamsaragan au Cercle Italien d'Alexandrie en Janvier 1930.

Argus Egyptien et International de la Presse, en italien, « Le arti in Alessandria », 27 Janvier 1930

Article en italien (suite)

5. Janvier 1930, Xème Salon du Palais des Beaux-Arts, Le Caire, Egypte

Xème Salon du Caire 1930 (pages 1)
Critique extraite du Journal du Caire 1930, signée Morik Brin. Celui-ci était un acteur important de la scène intellectuelle en Egypte à cette époque. Page 2 de l’article sont mentionnées deux statuettes en bronze "Porteuse d'eau" et "Derviche tourneur", une "Tête en ébène", une "grande porteuse d'eau en bois" et "un magnifique "Buste" en pierre qui a été refusé et qui se trouve exposé chez Narinsky. Ce « Buste » est probablement appelé « Torse » dans d’autres expositions ultérieures.

Xème Salon du Caire 1930 (pages 2)

Daria Gamsaragan, Mme Imre Gyomaï (pages 1 à 5) 
Manuscrit d’un entretien avec un ou une journaliste au domicile du couple à Montmartre, à propos de l’exposition au Caire, 1930
 

Daria Gamsaragan, Mme Imre Gyomaï (page 3) 

Daria Gamsaragan, Mme Imre Gyomaï (page 2) 

Daria Gamsaragan, Mme Imre Gyomaï (page 4) 

Daria Gamsaragan, Mme Imre Gyomaï (page 5) 

La Bourse égyptienne Edition Alexandrie 5 janvier 1930 (parties 1 et 2)
Article, en partie déchiré, qui relate la "Promenade au Salon du Caire", daté du 3 Janvier 1930 paru dans "la Bourse égyptienne, Alexandrie".
 

La Bourse égyptienne Edition Alexandrie 5 janvier 1930 (partie 2)

Une heure avec Daria Gamsaragan (pages 1 et 2)
Le Flambeau d'Egypte, Janvier 1930
 

Xème Salon du Caire 1930 (pages 1 et 2)
Critique extraite du Journal du Caire 1930, signée Morik Brin. Celui-ci était un acteur important de la scène intellectuelle en Egypte à cette époque. Page 2 de l’article sont mentionnées deux statuettes en bronze "Porteuse d'eau" et "Derviche tourneur", une "Tête en ébène", une "grande porteuse d'eau en bois" et "un magnifique "Buste" en pierre qui a été refusé et qui se trouve exposé chez Narinsky. Ce « Buste » est probablement appelé « Torse » dans d’autres expositions ultérieures.

6. Juin 1930, Salon de Tuileries, Paris

Extrait de l'Argus de la Presse, Le Quotidien, 20 Juin 1930, Salon des Tuileries, critique Gustave Kahn:  " Daria Gamsaragan donne de la vérité de lignes à ses porteuses d'eau, dont l'un d'un curieux travail de bois".

7. Mai-Juin 1932, Salon des Tuileries, Paris

Deux extraits de l'Argus de la Presse, Mai et Juin 1932 au sujet du Salon des Tuileries. De Pawlowski cite "le Baiser" de Daria Gamsaragan "un joli groupe granit". L'autre extrait vient d'un journal en allemand "Neue Pariser Zeitung Neuilly".

8. Janvier 1934, Exposition des portraits contemporains, Galerie de Paris

Extrait de l'Argus de la Presse,  Paris-Midi 2 Janvier 1934 à propos de l'Exposition des portraits contemporains, Galerie de Paris, cite Daria Gamsaragan.

9. Avril 1935, Palais Tigrane, XVème Salon du Caire, Egypte

XVème Salon du Caire (pages 1)
La Bourse Egyptienne, XVème Salon du Caire au Palais Tigrane "La sculpture", 24 Avril 1935. 
Article signé par Etienne Meriel (critique d'art reconnu). Photo : portrait d'Andrée Jabès. L'article mentionne aussi le Buste de Boghos Pacha et pose la question "Comment parler convenablement des bustes de Daria Gamsaragan ?"

XVème Salon du Caire (pages 2)

10. Avril 1935 Galerie Van Leer, Paris, exposition personnelle

Carton pour le vernissage "Daria Gamsaragan Sculptures Galerie Bonaparte". L'année n'est pas précisée.
 

Le dépliant de l'exposition, face 2 sur cette photo, n'indique pas l'année, mais une inscription à la main précise "Galerie Bonaparte chez Van Leer 1935".

11. Avril 1936 Galerie Bonaparte, Daria Gamsaragan et Emile Lahner, Paris

Vernissage Galerie Bonaparte 1936 (photo recto et verso)

 

On voit l'inauguration de l'exposition de Daria Gamsaragan et Emil Lahner, peintre, au centre à droite de Daria Gamsaragan, Imre Gyomaï est à la gauche de Daria. Sur les murs, sont accrochés les tableaux de Lahner. Au centre de la photo, au fond on distingue le buste de Boghos Pacha.

Au verso de cette photographie, Daria Gamsaragan commente les évènements liés à cette exposition à l'intention de sa famille en Egypte. Il y a ces commentaires écrits en arménien et en français où on comprend que Daria Gamsaragan se félicite du succès de cette exposition et relate la venue de « célébrités » : sénateurs, députés, membres de l’Académie Française, de l’Académie Goncourt, des journalistes, et même le Professeur Paul Langevin.

Exposition Galerie Bonaparte avant l'arrivée des visiteurs 

 

On peut voir le buste de Séverine, jeune, le portrait de Séverine âgée, le portrait d'Andrée Jabès et dans une vitrine, à gauche deux petites sculptures en bronze (peut-être), avec une maternité et une silhouette assise, vue de dos. Au mur, des tableaux de E. Lahner

Deux critiques de l'expo Gamsaragan-Lahner

 

Ces articles, parus dans « Paris Littéraire » du 1 mai 1936 et dans « L'Intransigeant » signé Louis Lambert, relèvent en particulier la sculpture " remarquable" du buste de Séverine qui "allié aux grâces émouvantes du portrait sévère [confère] la grandeur qui convient au monument".

Annonce du vernissage

 

Dans le journal « Comoedia » l’exposition Lahner-Gamsaragan vernissage, le 2 Avril 1936

Buste de Séverine (coupure de journal 1936)

 

Statue de Séverine, article paru dans le journal « Le Quotidien », le 14 avril 1936 avec le commentaire suivant :  "Nous croyons savoir que cette statue ornera bientôt un square de la capitale".

12. Mai-Juin 1936, Salon des Tuileries, Paris

Salon des Tuileries 1936-1


Extrait de l'Argus de la Presse, « Paris Municipal », le 7 Juin 1936. Mentionne le buste de Séverine "notamment disgracieux est conçu dans le style front populaire".
 

Salon des Tuileries 1936-3


Extrait de l'Argus de la Presse, L'Echo d'Alger, 31 Mai 1936, Salon des Tuileries. Critique signé V.S. Mentionne le "buste de Séverine particulièrement imposant et majestueux".

Salon des Tuileries 1936-2


Extrait de l'Argus de la Presse, « La Volonté », 24 Mai 1936, Salon des Tuileries, critique signée Paules.  Le "portait de Séverine" est remarqué.
 

13. Juin 1936, Gueux et vagabonds, Editions René Debresse 38 Rue de l’Université, Paris

Gueux et vagabonds 1


Articles mentionnant Daria Gamsaragan : « Voltaire », du 6 Juin 1936 et « Comoedia » du  4 Juin 1936. "Gueux et Vagabonds" manifestation littéraire et picturale.
 

Gueux et vagabonds 3
 

Dans le journal « La Volonté », le 30 Mai 1936 l'article signale les toiles de Daria Gamsaragan.

Gueux et vagabonds 2


« Le Journal Populaire », du 26 Mai 1936 signale les toiles de Daria Gamsaragan.
 

14. Octobre 1937, Trait d’Union, Paris

“Daily Mail”, «The art expert" du 18 Octobre 1937:  "among the most notable works are those of Daria Gamsaragan". Signé H.F.E. 

15. Novembre 1937, Exposition Internationale des Arts et Techniques, Paris

1. Inauguration du pavillon par le Roi Farouk 1er

 

La délégation égyptienne à Paris accueillie par les officiels français. On note la différence des chapeaux et des couvre-chefs de deux délégations.

2. Pavillon de l'Egypte, façade

 

La construction moderne du pavillon de l'Egypte, situé dans les jardins du Trocadéro, a été conçue par l’architecte français Robert Lardat.

3. Pavillon de l'Egypte, vue d'une cour intérieure

 

Les sculptures rappellent l'art de l'antiquité égyptienne.

4. Hall du pavillon de l'Egypte [photographie de presse]

 

Les tissus s’inspirent de scènes pharaoniques, mobilier et arts du métal sont dans la tradition islamique.

Exposition Internationale 1937, Diplôme Médaille d'Or au nom de Mlle Gamsaragan

Expo Internationale arts et techniques 1937, 1 et 2

 

Extrait de "La Reforme", Alexandrie, du 20 Juillet 1937. Il est fait référence à la « collection de Mme Gamsaragan ».

Expo Internationale arts et techniques 1937 - 2

16. Décembre 1937, Salon de l’Atelier, Alexandrie, Egypte

Exposition de l'Atelier, Alexandrie (Décembre 1937)

 

Catalogue de l'exposition "Salon 1937" Alexandrie. Sept statues de Daria Gamsaragan y figurent, dont le « Torse ».

Salon de l'atelier (La semaine égyptienne, 31 Janvier 1938)

 

Article signé J.D. Manasse, « Les sculptures de Daria Gamsaragan ». L’article montre les photos de quatre de ses sculptures : Torse, Tête de Séverine, Derviche tourneur et Maternité.

17. Janvier 1938, Exposition Internationale de la Galerie Contemporaine, 36 Rue de Seine, Paris

Exposition à la Galerie Contemporaine

 

Catalogue de l'Exposition Internationale à la Galerie Contemporaine, Paris. Daria Gamsaragan expose une seule sculpture, le Torse.

Galerie Contemporaine 1938, 1 et 2

 

Article paru dans « Le jour »,  le 27 Janvier 1938 signé G.B. L'article mentionne « le Torse » de Daria Gamsaragan

18. Mars 1938, Galerie MMM, Le Caire, Egypte, exposition personnelle
19. Juin 1938, XXIème exposition internationale d’art, Biennale de Venise, Italie

Affiche de la Biennale de Venise, 1 juin au 30 septembre 1938

Invitation à la Biennale de Venise Avril 1938

 

Dans cette exposition, Daria Gamsaragan représente l'Egypte avec deux statues : le « Soudanais » et « Danse bédouine ».

20. Mai 1939, Le salon des sculpteurs contemporains, 214 Faub. Saint Honoré, Paris

Salon des sculpteurs contemporains 1939

 

Salon des Sculpteurs contemporains (214 Faub. Saint Honoré, Paris) Mai 1939.  Article signé Habib Zouïten et commente la sculpture "tête de soudanaise dont nous aimons la mystérieuse sensualité".

21. Juin 1939 Salon du groupement d’art contemporains, 11 rue Royale, Paris

Salon du groupement d'art contemporain, 11 Rue Royale, le 16 Juin 1939. L'article signé Louis Guillaume dans « Patrie Humaine », mentionne les bronzes de Daria Gamsaragan.

22. Juin 1939 Musée d’art moderne Le Caire, Egypte

Musée d'art moderne, Le Caire, 1 et 2 (1939)

 

Article paru dans la Semaine Egyptienne, 30 Juin 1939. Le nom de Daria Gamsaragan y figure.

23. Juin 1939, Salon des Tuileries, Paris

Salon des Tuileries -1, 1939

Article signé Louis Vauxcelles paru dans « Excelsior » le 30 Juin 1939

Salon des Tuileries -2, 1939

Article signé par Jacques de Laprade paru dans « Beaux-Arts » le 8 Juin 1939

Salon des Tuileries -3, 1939

Article signé par Marius Leblons paru dans « La Vie », 1-15 Juillet 1939. La coupure du journal indique aussi des préoccupations beaucoup plus terre-à-terre de cette époque trouble : « A propos de la banane »

24. Mai 1939, Salons, Paris

Salons 1939 - 1

 

Article paru dans Beaux-Arts , 5 Mai 1939 signé J.L. L'article mentionne « l’œuvre la plus attachante de Gamsaragan, la Soudanaise ». 

Salons 1939 - 3

Salons 1939 - 2

25. Avril 1940, Salons, Paris

Catalogue de Peinture, sculpture, dessin gravure ... 1940, 1 et 2


Extrait du Catalogue de l'exposition. Daria Gamsaragan expose une vitrine avec 4 statuettes : portait de Josette, buste d'égyptienne, l'ange des ténèbres, l'ange de la lumière. L'adresse indiquée est 34 rue Scheffer qui est l'adresse du domicile d'Ergy Landau, photographe. Le texte indique « né à Alexandrie » et suppose donc que « Daria « est un prénom d’homme ! On ignore si Daria Gamsaragan se trouvait bien à Paris à ce moment-là. 
 

Catalogue de Peinture, sculpture, dessin gravure ... 1940 -2 Lettre G (Gamsaragan)

Salons 1940 -1 
Article paru dans « le Journal des Débats », le 7 Avril 1940 signé Edouard Sarradin, mentionne "l'aimable talent de Daria Gamsaragan l'Egyptienne".
 

Salons 1940 -2
Article paru dans « l'Epoque » le 6 Avril 1940 signé Charles Kunstler, mentionne « les statuettes de Daria Gamsaragan devant lesquelles [il faut] s'arrêter ».

26. Octobre 1946, Salon d’Automne, Paris

Etoile du soir Octobre 1946 - 1 et 2

 

« La beauté antique et la sculpture moderne par M.-L. Sondaz ».  La statue « Corps de femme » en marbre de Daria Gamsaragan, est montrée pour illustrer cet article.

 

Commentaire sur Daria Gamsaragan par M.-L. Sondaz: " Au Salon d'Automne ou tant de statues inachevées m'invitent à ces réflexions- Maillol et Chana Orloff mis à part- il se trouve cependant un buste en marbre de Daria Gamsaragan qui fait espérer une grande composition le jour où ce sculpteur à la manière de Pygmalion insufflera à son œuvre le rythme admirable, voluptueux et réchauffant de la vie."

27. 11 juin 1948 Salon des Tuileries

Catalogue Salon de Tuileries 1948 Couverture

Catalogue Salon de Tuileries 1948 à la lettre G (Gamsaraga)

 

Le catalogue mentionne une sculpture de Daria Gamsaragan « Tête ». 
 

 

 

Salon des Tuileries 1948

 

Dans le Franc-Tireur, 11 Juin 1948, article de Guy Dornand ..." au moins deux têtes, dont l'une de D. Gamsaragan, un plâtre au réalisme expressif d’une intense sensibilité…."

28. Mai 1949, Exposition de la Paix au Cirque d’Hiver, Paris

Exposition de la paix au Cirque d'hiver 1949

 

Article paru dans « Libération », 8 Mai 1949 mentionne ensemble les artistes Matisse, Auriscote, D. Gamsaragan, Picasso... [auxquels] la haine de la guerre [aura] inspiré des œuvres de haute tenue.

29. Décembre 1950, Galerie la Boétie, Paris, exposition personnelle

Galerie La Boétie Carte d'invitation 1950-1 et -2
Carte d’invitation à l'Exposition et catalogue. Dans la liste de sculptures on trouve le « Torse » en bronze, divers portraits, « Le Lotus », « Eve », les sujets égyptiens, « une tête en marbre en taille directe », « l'Homme nu » et le « Salut à la Paix ». Présentation par Maximilien Gauthier.
 

Galerie La Boétie Carte d'invitation 1950 - 2

Libération Novembre 1950 -1 et -2

 

Article signé par Guy Dornand dans « Libération » Novembre 1950 avec la photo du « Salut à la Paix ». L'auteur décèle dans cette "sculpture un sens humain, un souci architectural, une sensibilité féminine servie par une technique vigoureuse".

Sculpture et Architecture 1 et 2
 

Article signé René Barotte paru dans « Paris-Presse l'Intransigeant » le 24 Novembre 1950. Daria Gamsaragan est ici face à sa sculpture « l'Homme nu » d'une très grande taille, environ 2 mètres. Extrait : "Un ensemble d'œuvres appartenant à toutes les époques : les premières ont sans doute subi quelque peu l'influence de Bourdelle : c'est le cas de certains petits bronzes d'ailleurs très agréables à l'œil. Les dernières telles que « l'homme nu » en plâtre, ou « le salut à la paix » sont infiniment personnelles, vigoureuses et d'un grand équilibre plastique. Cet homme nu ne l'est pas au sens absolu du terme. C'est un fellah au corps maigre qui porte une espèce de pagne. Il est debout, il ouvre ses deux bras immenses. Il semble en état de prière. On dirait un christ demandant au seigneur le rachat de toutes les faiblesses humaines. Son corps un peu cachexique évoque aussi les souffrances endurées par des milliers d'hommes dans les camps de torture et d'extermination. A la vérité le personnage qui a posé pour ce plâtre n'est pas un modèle ordinaire. C'est parait-il un poète. Afin d'obtenir toute sa bonne volonté, sa patience avant ses séances éprouvantes Daria Gamsaragan lui lisait quelques pages émouvantes de Eluard ou Aragon. Ainsi entraient-ils tous ensemble dans une véritable communion spirituelle. 
L'artiste a suivi son chemin librement. Dans tout ce qu'elle crée actuellement elle cherche le maximum de pureté plastique et l'obtient le plus souvent. Elle se plait à montrer quels liens étroits existent entre la sculpture et l'architecture ».

Le Progrès Egyptien, le 5 Décembre 1950. 
 

Article signé N. Tomiche. On voit ici une photo de la sculpture appelée "Tête de femme" que le critique appelle "fine tête de négresse du Soudan" citée "comme une des premières œuvres de l'artiste". On n'est pas certain que cette œuvre figurât bien dans cette exposition car elle a pu être achetée au préalable par le Musée du Caire.
 

Le Lotus dans Action 1950


Article paru dans « Action », le 11 Décembre 1950, signé Y.F. "Un sculpteur qui aime la vie belle et qui sait avec gravité la chanter a besoin de l'espace pour s'exprimer. Qui donnera un jardin ou une place publique à Daria Gamsaragan ?"
 

Eve dans France Illustration 1950


Article paru dans France « Illustration », 9 Décembre 1950, photo d'Eve, sculpture en bois. "Volonté de recherche et souci de construction s'attestent dans les grandes figures tandis que les bustes se recommandaient par leur accent de vérité et de vie" avec un résumé du parcours de l’artiste.
 

Eve dans L'Aurore 29 Nov 1950


Journal « l'Aurore », 29 Novembre 1950. « La permanence de la forme », Photo de la sculpture « Eve ». Article signé G. Joly : « cette belle artiste présente ... le fruit savoureux des leçons de l’art pharaonique, de l’hellénisme alexandrin et surtout de ses maîtres Ossip Zadkine et Antoine Bourdelle ».
 

Critique Jean Bouret, Arts, 1950
 

Article de Jean Bouret, dans "Arts" 24 Novembre 1950, commentaire sur le Salut à la paix, les bois sculptés, les bustes...
 

Critique Morik Brin 1950


Le Journal Régional, 1 Décembre 1950 signé Morik Brin
 

Critique René Lacôte 1950


Les Lettres Françaises, 14 Décembre 1950, article signé René Lacôte qui parle de « la claire et pénétrante sensibilité de ses bustes de femmes » ... Il cite le Salut de la Paix et l'Homme Nu... « parmi les pièces les plus marquantes d'un ensemble entièrement consacré à l'exaltation d'un sentiment national et aux aspirations humaines les plus élevées ».
 

30. Mars 1951 Musée arménien de Paris

Cet article mentionne un don de Daria Gamsaragan au Musée arménien de Paris d'une statue "Descente de croix" en céramique. Nous ne possédons aucune photo de cette sculpture.

"Créé en 1949 par Nourhan Fringhian pour conserver la mémoire et la richesse culturelle d'un peuple en diaspora, "le Musée arménien de Paris" devient "Le musée arménien de France" le 24 avril 1953, par arrêté ministériel. Il est situé au 59 avenue Foch à Paris, dans un immeuble appartenant à l’État qui accueille déjà le Musée d'Ennery. Le musée arménien de France est inauguré en présence du président Vincent Auriol en octobre 1953".

31. Mars 1951 Paul Lebar, Paris

Galerie Paul Lebar, Paris le 2 mars 1951

 

Article paru dans « Arts » le 2 mars 1951 signé G.B. « Les œuvres de Daria Gamsaragan… orientées vers la recherche architecturale… complètent heureusement cet ensemble ».

Galerie Paul Lebar, Paris le 28 février 1951

 

Article paru dans « Opéra » le 28 Février 1951, signature manuscrite pas lisible. L'article rappelle  « que l’artiste dont la récente exposition avait affirmé les qualités de sculpteur, dans sa manière nerveuse et dépouillée, dote ses personnages d'un intense lyrisme ».

32. Juin 1952 Paul Lebar Paris

Exposition Devant la Fenêtre Galerie Paul Lebar Juin 1952

 

L’Union des Arts Plastiques présente « Devant la fenêtre ». Annonce parue dans « Libération » le 19 Juin 1952. Le nom de Picasso est dans la liste avec Daria Gamsaragan et d'autres.

33. Juillet 1954, 4eme exposition de peinture et sculpture, Société des Beaux-arts de Thonon les Bains, Haute Savoie

4ème exposition de peinture et de sculpture (Thonon-les-Bains) 1


Paru dans « L'Echo Liberté », le 20 Juillet 1954. L'article mentionne "les bronzes remarquables" de Daria Gamsaragan.
 

4ème exposition de peinture et de sculpture (Thonon-les-Bains) 3


Article paru dans « le Progrès » de Lyon, 12 Juillet 1954 « Daria Gamsaragan est un sculpteur de talent… ».

4ème exposition de peinture et de sculpture (Thonon-les-Bains) 2


Paru dans « L'écho Liberté », le 2 août 1954. La photo du bas est un portrait en bronze intitulé "Le vent" par Daria Gamsaragan. Photo Lamy.
 

34. Juillet 1955, Salon Comparaisons, Paris

Comparaisons Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris 1955-1


Le Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris expose une Fédération des Groupes d'Exposants du 6 au 27 Juillet 1955 sous le titre "Comparaisons".
 

Comparaisons Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris 1955-2


Catalogue de l'exposition. Daria Gamsaragan expose une seule sculpture, comme d'autres exposants. Certains cependant présentent deux œuvres. On ignore de quelle sculpture il s’agit.
 

Comparaisons Guy Dornand


Article par Guy Dornand, « Libération », 15 Juillet 1955. Le critique remarque "un attachant personnage imaginaire mi-humain mi-animal" de Daria Gamsaragan.
 

35. Mars 1958, Galerie Simone Badinier, Paris, exposition personnelle

Légende Roger Vailland 1958 (dactylographié) 1 à 3


Texte dactylographié de la critique publiée dans « Art Lettres Spectacles » et signé Roger Vailland
 

Roger Vailland 1958 (dactylographie) 2

Roger Vailland 1958 (dactylographie) 3

Waldemar George. Présentation de l'exposition (dactylographie) 1 et 2


Manuscrit de Waldemar George dactylographié et corrigé par l’auteur
 

Waldemar George 2 Présentation de l'exposition (dactylographie)

Radio Luxembourg, avec Susanne Normand 1958, 1 et 2


Verbatim de l'interview à Radio Luxembourg du 12 Mars 1958
 

Radio Luxembourg, avec Susanne Normand 1958-2

Portrait Roger Vailland 1958 paru dans Paris Presse - l'Intransigeant


Cet article révèle que le portrait de Roger Vailland a été réalisé avec une seule séance de pose.
 

Légende pour Bestiaires et hiéroglyphes Galerie Simone Badinier 1958 couverture


Catalogue de l'exposition à la Galerie Simone Badinier, 1 Rue Laffitte, Paris 9ème, 7-29 Mars 1958 "Bestiaires et hiéroglyphes"
 

Bestiaires et hiéroglyphes de Daria par G. Waldemar-1

Bestiaires et hiéroglyphes de Daria par G. Waldemar-2

Légende de Arts Lettres Spectacles Roger Vailland 1958, 1 et 2


« Arts Lettres Spectacles », 5 au 11 mars 1958, article de Roger Vailland "Depuis vingt ans j'admire un sculpteur..."
 

Arts Lettres Spectacles Roger Vailland 1958-2

Critique Claude Roy (dactylographie) 1958


Claude Roy écrit "ces statues sont belles comme une écriture précise "..."Le monde menacé, écartelé entre grâce et cruauté. La beauté ici éclate en significations ".
 

Critique dans Jardin des Arts, Mai 1958


"Daria Gamsaragan est un sculpteur sensible et profondément humain". L'auteur conclut "belle exposition émouvante et sincère".
 

Critique Guy Dornand 1958, 6 mars 1958


Longue analyse de la trajectoire de la sculptrice. Photo de de la statue « Vampire »
 

France Soir Avril 1957


Cet Article paru dans « France Soir » en Avril 1957, à l'occasion de la sortie du livre "Voyage avec une ombre" signé Anne Sarag (pseudonyme de Daria Gamsaragan) montre la sculptrice dans son atelier au milieu des sculptures qui seront présentées à la Galerie Simone Badinier en 1958 dans " Bestiaires et Hiéroglyphes "
 

Légende pour Waldemar Georges (dactylographié) pages 1 à 3


Longue analyse des sculptures de Daria Gamsaragan par un critique réputé qui a suivi le parcours de l’artiste.
 

Waldemar George 1958 2

Waldemar George 1958 3

36. Octobre 1958 Arts sacrés, Musée d'art moderne Paris

Article dans Combat, Arts Sacrés, Octobre 1958


Photos de l'Ange et d'Orante
 

Article M.-T. Maugis Arts Sacrés 1958


M.-T Maugis écrit "De belles sculptures d'Achiam et de Gamsaragan tranchent dans cet ensemble anecdotique"
 

Les Arts Sacrés 1958 Musée d'art moderne


Les photos sont celles de « Harpie », « Orante » et « Ange suppliant ». Article paru dans « l'Oise libérée », le 22 Octobre 1958
 

 Guy Dornand dans Libération 17 Oct. 1958


Il écrit… « Mis à part… et en sculpture Daria Gamsaragan et Jacques Roland on voit mal qui et quoi citer dans un ensemble d’œuvres qui pourraient figurer parce qu’abstraites dans le plus prosaïque de salons profanes ».
 

 Critiques pour le Salon Art Sacré et pour l'Exposition chez Simone Badinier 1958 (deux articles)


Dans le « Journal de l’Amateur d’art » du 25 Octobre 1958, H. Héraut cite le nom de Gamsaragan, mais n'aime pas les sculptures d'Achiam, "représentant des prophètes grimaçants, grotesques", car écrit-il "c'est peut-être de l'art israélien, mais non de l'art chrétien". 
Dans la « Tribune des Nations », du 14 Mars 1958, Suzanne Tenand aime "cet ange aux ailes encore repliées" et pense que "l'œuvre de Daria Gamsaragan est particulièrement originale .... Les formes ne sont qu'un support à une pensée, à un drame, à une lutte..."
 

37. Mai 1959 Salon Le Caire, Egypte

35ème salon Le Caire, 1 à 4


Article dans « Egypt Travel Magazine », Mai 1959, n°57. Sculptures du « Derviche tourneur » et d'un, « Porteuse d'eau » avec une amphore, du « Danseur au bâton » et d'une autre », « Femme avec une cruche ». Article de Jean Moscatelli.
 

35ème salon Le Caire 3

35ème salon Le Caire 2

35ème salon Le Caire 4

Journal d'Egypte 1959


Le « Journal d'Egypte », 31 Mars 1959. Article signé D. Antranikian intitulé "Daria Gamsaragan sculpteur du subconscient".  L’analyse d'un fin connaisseur de l'œuvre de Daria Gamsaragan …"de la si profonde connaissance [qu’elle a] de l'âme humaine... De cette œuvre qu'anime un monde fantastique, se dégage une philosophie de la vie, sa philosophie". Le Christ en croix sur la photo : "émouvant masque de douleur le corps décharné se tend en arc comme pour se porter vers le spirituel".
 

Liste d'objets exposés au Caire (non daté) prix en livre egyptienne

La Bourse Egyptienne 26 Mars 1959


Article signé Dimitri Diacomidis qui regrette que Daria Gamsaragan n'ait pas "pu transporter quelques-unes des grandes sculptures" et que c'est seulement avec l'aide de "grands projecteurs" qu’ils les ont admirées ce qui leur a néanmoins apporté "une intense et totale satisfaction". La photo représente le Couple.
 

38. Avril 1960, Club International Féminin, Musée d’Art Moderne, Paris

Légende pour Club international féminin 1960, Journal de l'Amateur d'Art


H. Héraut, 25 Avril 1960, dans le « Journal de l’Amateur d’Art », parle "d'un Christ d'une simplicité pathétique admirable" de Daria Gamsaragan
 

Légende pour Club international féminin 1960 Le Figaro


Article signé Raymond Cogniat, « Le Figaro », le 25 Avril 1960. Mentionne les " puissantes œuvres de Mme Lavriller (France), ... Daria Gamasaragan (Egypte)"...

Légende pour Club international féminin 1960 Arts


Article paru dans « Arts », le 20 Avril 1960 signé M.S.
 

39. Juin 1962, Musée-Maison de la culture, Le Havre, Seine-Maritime

Maison de la Culture Le Havre 1962 1 et 2
Catalogue de l’exposition et sculptures exposées. Daria Gamsaragan expose trois bronzes, dont deux sont prêtées par des collectionneurs privés, Andrée Chedid et Waldemar George.

Maison de la Culture Le Havre 1962-2

40. Mai 1964, Histoire du Buste XXème siècle auprès de Bourdelle, Musée Bourdelle

Musée Bourdelle, Paris 5 Mai 1964-2


Extrait du catalogue : biographie de Daria Gamsaragan en 1966. Il y est fait mention des noms de galeries dans lesquelles elle expose en permanence et des acheteurs connus de ses œuvres. La biographie mentionne Gallery Kaymar à Dennis (Cape Cod, Massachusetts) à cette époque (actuellement au 548 West Broadway USA - New York NY 10012) et Galerie Framond (3 rue des Saints-Pères, Paris) semble actuellement fermée.
 

Musée Bourdelle, Paris 5 Mai 1964-3


Extrait du catalogue : liste des bustes exposés par Daria Gamsaragan
 

 Article non signé, photo du buste de Roger Vailland


Cet article mentionne les noms de plusieurs portraits exposés par Daria Gamsaragan au Musée Bourdelle.

Légende pour Tribune des Nations, 22 Mai 1964  


Article de Suzanne Tenand citant le buste de Follain par Daria Gamsaragan
 

41. Janvier 1962 Salon des Artistes arméniens Le Caire, Egypte

Salon des Artistes arméniens Galerie Art pour tous, Le Caire 1962 -1 Couverture du catalogue

Salon des Artistes arméniens Galerie Art pour tous, Le Caire 1962-2


Catalogue du salon. Le commentaire dit à propos de Daria Gamsaragan "Remarquable sculpteur, sachant coordonner avec vigueur et grâce l'ensemble de rapports de lignes et de formes". Les noms de trois des sculptures exposées ne sont pas précisés (appelées « Etude ») comme d'ailleurs pour les autres participants peintres dans cet extrait du catalogue. Seul le nom « femme assise bronze » apparait pour une quatrième sculpture.

42. Octobre 1965 Salon d'automne Paris

Salon d'automne 1965 par R. Charmet

Arts, 20-26 Octobre 1965 par R. Charmet. S-56 Mentionne les « sculptures de Gamsaragan et de Lavriller-Cosaceanu. La qualité de la sculpture est l’un des faits majeurs de ce Salon d’Automne ».

43. Mai 1966 « 2eme Biennale Internationale de la sculpture contemporaine Formes humaines », Musée Rodin, Paris

Article de Michelle Seurière 1966

 

"Les formes humaines", exposition au Musée Rodin de la 2de Biennale Internationale de la Sculpture contemporaine. Article dans « Le Journal de l'Amateur d'Art », 10 Mai 1966. Mentionne le nom Gamsaragan.

Report from Paris, par Barnett D. Conlan

 

Article en anglais "Report from Paris" par Barnett D. Conlan, paru dans « Pictures on exhibit », New York, Juin 1966. Il dit que la sculpture "Leda of Gamsaragan is a standing figure" (figure remarquable).

44. Décembre 1966 1er Festival de Sculpture contemporaine Château de Saint Ouen (Seine-Saint-Denis)

« Journal de l'amateur d'art », Décembre 1966-Janvier 1967, article signé Henri Héraut, cite le nom de Gamsaragan parmi « les vivants », Giacometti et Richier sont décédés, un hommage leur est rendus, ainsi qu’à d’autres sculpteurs.

45. Juin 1969 Association Thoros-Roslin Fondation Calouste Gulbenkian, Paris

Association Thoros-Roslin 1969

 

« L'amateur d'art », 5 Juin 1969, article signé Henri Héraut cite "un ange prenant son vol d'un remarquable style dépouillé" par Daria Gamsaragan.

46. 1969 Sculpture Contemporaine Pantin (Seine-Saint-Denis)

La Sculpture Contemporaine Pantin 1969 - 1 à 3

 

Dépliant de l'exposition organisée par la Municipalité de Pantin. Présentation par Victor Etcheverry, maire-adjoint de Pantin aux Affaires Culturelles. Liste des exposants et introduction par Louise Emanuel Bove.

La Sculpture contemporaine Pantin 1969 - 2

La Sculpture Contemporaine Pantin 1969 - 3

47. Avril 1970 Librairie Marthe Nochy, Paris (exposition personnelle)

Affiche exposition chez Marthe Nochy

Armenia commémoration du génocide 2 et 3


Article sur Daria Gamsaragan à la rubrique Arts. Article signé Henri Héraut. Deux images des sculptures : la « Chevauchée » et « portrait de Sacha Pitoëff ».
 

Armenia commémoration du génocide 1


Magazine Armenia paru en Avril 1977 commémorant le 1er Génocide du XXème siècle. En couverture, Les crucifiés de Daria Gamsaragan
 

Armenia commémoration du génocide 3

Carte d'invitation Sculptures et Dessins chez Marthe Nochy 1970 (verso)


Le message de Claude Roy pour cette exposition.
 

Carte d'invitation Sculptures et Dessins chez Marthe Nochy 1970 (recto)


Carte d'invitation pour l'exposition vernissage le 21 avril 1970
 

Critique par Warnod exposition chez Marthe Nochy


Critique parue dans le Figaro, le 8 mai 1970 signée Janine Warnod. « Elève de Bourdelle, Daria Gamsaragan montre un ensemble de petites sculptures élancées, femmes-flammes, oiseaux, figurines, parfois dans l’esprit Giacometti, avec cet élan mystique qui caractérise l’œuvre de cette femme sculpteur ».
 

Critiques de Jean Gaillard, Le Club de la Médaille et Robert Barret

Daria Gamsaragan à l'Exposition à la Librairie Marthe Nochy 1970-1


Daria Gamsaragan devant "les guerriers du vent" à l'exposition chez Marthe Nochy, 1970
 

Daria Gamsaragan à l’Exposition à la Librairie Marthe Nochy 1970-2


Daria Gamsaragan avec la Statue de « l'ange, » à l'arrière, au cours du vernissage de son exposition. Elle porte autour du coup un collier de sa propre création de bijoux.
 

Le Club Français de la Médaille 1972 (n°35-36), 1 et 2


Les sculptures présentées sont : « L’Orante, « L’Ange », « Couple », « Pardessus les frontières », « Le dictateur » et les portraits de « Sacha Pitoëff » et de « Roger Vailland ».

Exposition chez Marthe Nochy 1970 avec René Collamarini (sculpteur) et au centre Alice C. élève de Daria Gamsaragan

Exposition Librairie Marthe Nochy 1970, visiteurs au milieu des statues

Exposition chez Marthe Nochy 1970. Mosaïque de photos de quelques statues

Exposition chez Marthe Nochy 1970 Les vitrines le long d'un mur à l'exposition

Exposition chez Marthe Nochy 1970 Margareta Cosaceanu-Lavrillier, amie et sculptrice
 

Le dessin au mur est de Daria Gamsaragan

Avant propos de Gilbert Maurice Duprez 1970-1

Avant propos de Gilbert Maurice Duprez 1970-3

Avant propos de Gilbert Maurice Duprez 1970-5

Avant propos de Gilbert Maurice Duprez 1970-2

Avant propos de Gilbert Maurice Duprez 1970-4

Liste des statues exposées et des prix (chez Marthe Nochy 1970)

48. Novembre 1972 Festival Art et Cuture Hilton Paris

Festival art et culture Paris Hilton 1972

 

Diplôme d'Honneur pour le VIème Festival d’Art et de Culture, du 10 au 12 Novembre 1972, rédigé en français et en arménien pour Daria Gamsaragan.

49. Juillet 1978 Exposition à Saint Nadeau (Nouvelle Aquitaine)

Exposition au domicile de M. Eric Chabrerie à Saint Nadeau (Charente)

 

Le « Sud-Ouest », 22 Juillet 1978, Article intitulé L'Univers de Daria Gamsaragan "l'artiste a fait son miel de tous les pollens. ... Une poésie violente se dégage...". Signé M.C.M. Photo de « l’Ange ».

Coupure d’un autre article du « Sud-Ouest » intitulé Sculptures à Saint Nadeau. « Les sculptures fantastiques de Daria Gamsaragan »

50. Novembre 1978 Musée de la Médaille Varsovie, Pologne

Musée de la médaille, Varsovie 1978


Lettre du 3 Novembre 1978 du directeur du Musée Sztuki de Varsovie pour rassembler des médailles en vue de l'exposition permanente de ce musée.
 

Lettre manuscrite Daria Gamsaragan au Musée de la médaille Varsovie 1978, 1 et 2


Réponse de Daria Gamsaragan du 25 Novembre 1978

Lettre manuscrite Daria Gamsaragan au Musée de la médaille Varsovie 1978 - 2

51. Novembre 1979 Société des Amis de l’Art, Garden City, Le Caire

Exposition médailles à la Société des Amis de l'Art à Garden City, Le Caire Egypte 1979

Médaille Néfertiti Hymne au Soleil, article paru dans le Progrès Dimanche 28 Octobre 1979, Egypte

52. Février 1982 La France et l’Egypte dans l’art de la médaille, Le Caire, Egypte

Catalogue Art de la médaille 1982 Le Caire

Préface du catalogue signée G. Gautier
 

Préface du catalogue signée G. Gautier
 

A propos de la médaille Néfertiti :
« Profil de la reine noyé dans les rayons du soleil. Au revers le disque solaire rayonnant. En son centre la croix de vie entourée de la légende suivante : SOLEIL VIVANT QUI VIT DEPUIS L’ORIGINE. DIEU UNIQUE DE TOUTES LES CREATURES. TOUT CHEMIN EST OUVERT PARCE QUE TU ES LA ». 
 

53. Novembre 1982 AGBU Art Expo, New Jersey, EU

AGBU 1982, les organisateurs

 

De gauche à droite : Daria Gamsaragan, Garig Basmadjian, propriétaire de la Galerie Gorky, Paris et organisateur de l'évènement pour la France, Albert Keusey, Mme F. Stoneson, Mme A. Keusey et M. Frank A. Stoneson, Directeur Général du Diocèse de l'Eglise Arménienne (d'après le journal The Armenian Reporter, 25 Nov. 1982)

AGBU 1982 Daria Gamsaragan avec Vava Sarkis, peintre

AGBU ART EXPO 1982-1 New York

 

Image en couverture du catalogue de l'exposition

AGBU ART EXPO 1982-2 New York

 

Biographie de Daria Gamsaragan

Liste de statues de Daria Gamsaragan exposées à AGBU par Gorky Galleries, 1982

Signature de G. Basmadjaian datée du 14 Octobre 1982

Les artistes qui exposent à AGBU 1982

Extrait de The Armenian Mirror Spectator, 25 Décembre 1982

Image du petit cheval de Daria Gamsaragan publiée dans le catalogue AGBU 1982

54. Octobre 1984 Daria Gamsaragan Sculptures Galerie Sculptures Paris, exposition personnelle

Armenia 1984 1 couverture avec le nom de Daria Gamsaragan

Armenia 1984 3

Armenia 1984 2 article par Hermine Zakarian
 

Armenia 1984 4

Critique Nazareth Topalian 1984-1

Critique Nazareth Topalian 1984-3

Critique Nazareth Topalian 1984-5

Critique Nazareth Topalian 1984-2

Critique Nazareth Topalian 1984-4

Critique Nicole Duault dans France Soir Tiercé 1984

Quatre Critiques 1984


Article dans « Expo News », « Tonus », « Quotidien de Paris » et dans un autre journal, une annonce intitulée « Rétrospective de Daria Gamsaragan : une sculpture du lyrisme hantée par les êtres mythiques … à découvrir du 25 Septembre au 13 Octobre »
 

Galerie sculptures 1984 - 1 (photos par Andrée Jabès)

Galerie sculptures 1984 - 3 (photos par Andrée Jabès)

Galerie sculptures 1984 - 5 (photos par Andrée Jabès)

Galerie sculptures 1984 - 7 (photos par Andrée Jabès)

Galerie sculptures 1984 - 9 (photos par Andrée Jabès)

Galerie sculptures 1984 - 11 (photos par Andrée Jabès)

Galerie sculptures 1984 - 13 (photos par Andrée Jabès)

Galerie sculptures 1984 - 15 (photos par Andrée Jabès)

Galerie sculptures 1984 - 2 (photos par Andrée Jabès)

Galerie sculptures 1984 - 4 (photos par Andrée Jabès) Reflets dans la vitrine

Galerie sculptures 1984 - 6 (photos par Andrée Jabès)

Galerie sculptures 1984 - 8 (photos par Andrée Jabès)

Galerie sculptures 1984 - 10 (photos par Andrée Jabès)

Galerie sculptures 1984 - 12 (photos par Andrée Jabès)

Galerie sculptures 1984 - 14 (photos par Andrée Jabès)

Galerie sculptures 1984 - 16 (photos par Andrée Jabès)

Galerie sculptures 1984 Carte d'invitation et présentation par Andrée Chedid

Galerie sculptures 1984 Dédicace d'Andrée Jabès pour l'Album de photos

Journal en Arménien 1984-1

Journal en Arménien 1984-2
 

Dans la légende de la grande statue on peut traduire "Le silence" et pour la médaille, "Vercors".

Beaubourg et Gamsaragan


Extrait du « Quotidien de Paris », le 3 Octobre 1984. On voit cohabiter sur cette page l‘exposition à la Galerie Sculptures, rue Visconti de Daria Gamsaragan (avec une critique discrète et élogieuse) et un article sur les transformations du Musée Beaubourg où l'auteur regrette que la "moitié au moins du musée est consacrée à un art déjà rentré dans l'histoire [Matisse, Léger, Kandinsky…] et attend le catalogue complet des collections...Il s'inquiète aussi de voir que l'art vivant continue à pratiquer autant de grands formats, les installations expansives…". En lisant ces lignes qui étaient peut-être passées inaperçues alors, on constate que ces inquiétudes se sont concrétisées dans les décennies qui ont suivi.

Extrait journal Le Monde Oct 1984

Journal Achhar (Le Monde) 20 Oct 1984 Article signé Thais Samikian

Nouvelles d'Alexandrie 1985

55. Novembre 1984 Bronzes et dessins, Galerie sculptures, Paris
56. Mai 1985 Triennale Paris Exposition Internationale du Petit Bronze Musée Bourdelle, Paris

Triennale Européenne de la Sculpture Paris Mai 1985

Couverture du Catalogue-Magazine de la Triennale Européenne de Sculpture, Musée Bourdelle, Petits bronzes et dessins. Illustration de l'exposition, avec une sculpture de Gamsaragan. Catalogue de l'exposition pour la Section Forme humaine. Daria Gamsaragan expose deux sculptures : « Cheval-poisson », « Homme à la Chimère ».