BIOGRAPHIEAlbert Chubac
Albert Louis Schupbach est né le 29 décembre 1920 à Genève. Il est le deuxième fils de Charles Albert Schupbach, d’ascendance suisse et russe, et d’Isabelle Virginie Louise Pache. Descendant d’une grand-mère paternelle d’origine russe et d’une grand-mère mater- nelle d’origine italienne, le jeune Albert évolue dans un milieu interna- tional dès son plus jeune âge. La famille Schupbach réside confor- tablement à Genève et séjourne régulièrement à Annecy, en France, dans leur résidence secondaire. Il signera ses premières œuvres « Schupbach ». Jugeant la consonance germanique de son nom trop marquée, il prendra plus tard le nom de Chubac... Jusqu’en 1938, son frère et lui partagent leur enfance entre Suisse et France. Il fait ses études primaires et secondaires à
Genève, avec son frère aîné. L’esprit de Cal- vin imprègne encore la Suisse. Albert y vit une enfance calme au sein d’une famille aimante.
1938
Année noire pour Albert : sa mère décède, suivie quelques mois plus tard par son père.
La protection familiale disparaît. L’âge de la majorité étant fixée à vingt-et-un ans, Albert est recueilli par sa grand-mère maternelle. Son parrain, aristocrate genevois, devient son
tuteur. Il est séparé de grand son frère qui, lui, est majeur. Souffrant de la disparition brutale de ses parents et du départ de son frère, il est contraint de poursuivre des études à Genève sur lesquelles il ne parvient pas à se concentrer suite à ce terrible drame familial.
1942
Il interrompt ses études secondaires pour entrer à l’École des Arts Décoratifs de Genève, sur ordre de son tuteur.
1945
Il obtient son diplôme des Arts Décoratifs, entre à l’École des Beaux-Arts de Genève, et reçoit alors une bourse pour poursuivre ses études. L’enseignement du professeur René Guenand l’incite à devenir peintre...
1946
Premier voyage avec ses professeurs de l’École des Beaux-Arts de Genève, Albert visite Paris libéré, en état de fête, d’excès et de recons- truction. Il découvre la galerie Maeght, installée rue de Téhéran, où est exposé Matisse, sans grand succès. Ce séjour passe par Uzès, dans le Gard, où il rencontre la lumière du Sud, déterminante pour sa palette de couleurs et que, tout au long de sa vie, il recherchera ...
1947.
Diplômé des Beaux-Arts, école peu fréquentée à cette époque, Albert ne gardera aucun contact avec ses camarades. Il reçoit trois bourses d’études pour réaliser des projets. Il décide de quitter l’aus- térité de Genève et de voyager dans le Sud. Il rejoint des amis, ceux des années d’enfance, d’avant le décès de ses parents, à Laghouat en Algérie. Il effectue de nombreux séjours à Ghardaia ainsi qu’à Ouargia. Et c’est à Alger qu’il termine son voyage, proche de la Villa d’Essay, au pied du Musée National des Beaux-Arts. Il crée des pein- tures figuratives, des portraits, des personnages sur papier.
1948
Il rentre à Genève, repart à Paris, puis voyage quelques mois en Espagne et rencontre à Barcelone Josep Llorens i Artigas, céramiste. Il va se lier d’amitié avec lui. Il peint sur les plages à la manière de Dufy et de Matisse.
1949.
Artigas lui fera connaitre l’écrivain et critique d’art Pierre Courthion, né à Genève en 1902, immense érudit qui met sa bibliothèque à sa dis- position et lui fera étudier et approfondir l’art abstrait, en particulier les œuvres de Matisse et Nicolas de Staël. Il rencontrera ce dernier en 1949, grâce à un ami modéliste. Il découvre ainsi les œuvres repro- duites des plus grands artistes contemporains. De Staël et Matisse auront une influence majeure sur son travail, jusqu’ici inspiré par ceux de Georges Braque, Joan Miró,
Henri Matisse, Raoul Dufy, Fernand Léger et surtout Pierre Bonnard.
Albert rencontre Nicolas de Staël, à Paris, grâce au critique d’art fran- co-suisse Pierre Courthion. Intimidés tous les deux, ils n’échangent que des banalités. C’est ensuite le départ pour l’Italie qu’il visite, puis il s’embarque depuis Brindisi pour la Grèce. Après un séjour à l’École d’Archéologie d’Athènes, il visite les Îles Cyclades. La mer, la nature, la luminosité et le calme fascinent Albert... Après l’Algérie et l’Espagne, ces périples autour de la Méditerranée déterminent chez Chubac toute son œuvre à venir (palette des couleurs, références picturales). Il fait la connaissance de l’écrivain grec Spiteris, qui lui obtient un atelier d’artiste à Mykonos où il passera huit mois. Il com- mence l’exécution de grands aplats sur papier épais de couleur gris- beige. Il crée aussi des séries d’aquarelles, de formats réduits, avec des petites taches de couleur. La vente en est bien plus facile et lui assure le minimum vital. Albert utilisera tout au long de sa vie ce sup- port pour communiquer avec ses amis. La peinture n’est-elle pas un langage ? Sa palette et ses références picturales reprendront désor- mais ces atmosphères méditerranéennes. À Mykonos, l’œuvre à venir d’Albert s’affirme, issue de la qualité des enseignements reçus bien sûr, mais aussi de ses périples dans la lumière. Mais Mykonos devient bientôt trop fréquentée pour Albert qui recherche le calme et part pour le mont Athos.
1950
Spiteris, avec qui il a passé trois semaines au Mont Athos, appré- ciant le travail de Chubac (Albert a d’ailleurs illustré un ouvrage de l’écrivain qui décrit la vie quoti- dienne du peuple grec), lui orga- nise une exposition personnelle à Athènes, au musée du Zappéion. Il y rencontre Amalia Kutsouri- Voureka, une étudiante en méde-
cine et activiste politique grecque...
Albert a 30 ans, c’est sa première exposition personnelle dans un établissement public. Après cette exposition, Albert décide de quit- ter la Grèce et de visiter le Royaume d’Égypte. Il part pour Le Caire. Il y partage la vie quotidienne des Égyptiens en compagnie d’un père jésuite devenu son ami. Ils sillonnent les villages des abords du Nil jusqu’en Haute-Égypte. Il fait alors la connaissance du Prince Séra- phim El Minia (nom que l’on pourrait traduire « serpent ailé, gardien du Trône »), grand propriétaire terrien, ce richissime Prince règne sur le Royaume de la Moyenne-Égypte, dont la capitale est Al-Minya, à 250 km du Caire. Le prince reçoit avec curiosité les artistes qui traversent son territoire et se lie d’amitié avec Albert. L’enfer blanc des mines de calcaire, le bleu du ciel sous un soleil jaune chauffant jusqu’à 60° un paysage minéral : cette vision artistique minimaliste inspire Albert.
Le Prince Séraphim en protecteur et mécène d’Albert devient un fervent collectionneur de ses œuvres. Initialement établi au village d’El Minia, avec l’aide du monarque, il est ensuite, pour sa sécurité, hébergé dans une des fermes du souverain, qui l’approvisionne en papier et peintures. Albert vit alors au milieu des fellahs, fréquentant les marchés, se déplaçant à dos d’âne... Son travail sera dès lors fortement influencé par l’Antiquité égyptienne et la découverte des immenses décors monochromes ornant les monuments anciens. Mais la situation politique de la région devient instable ; la révolution se prépare, qui va aboutir à la fin du royaume égyptien en 1953.
1951
Chrétien et Suisse dans cette capitale musulmane et royaliste, Albert est une nouvelle fois contraint de quitter la quiétude et le confort rela- tifs d’Al-Minya. Il trouve refuge dans une ferme d’un des nombreux villages du Prince Séraphim, parsemés dans la campagne autour de la capitale. Sa sécurité est renforcée par sa grande aptitude à intégrer les coutumes locales.
Soupçonné d’être un espion étranger, jugé trop proche du Prince Sepharim, Albert est toutefois contraint de partir précipitemment. Son départ est organisé dans le plus grand secret! Caché au milieu d’un groupe d’enfants juchés sur des ânes, il s’enfuit d’Égypte...
1952
Albert rentre à Genève, fortement traumatisé par sa fuite hâtive. Encore une fois, le destin l’a frappé. Cette nouvelle perte brutale de protection et de sécurité font ressurgir la douleur de la perte subite de ses parents et d’un foyer. Désormais, Albert se promet d’assurer son indépendance, vivant avec peu de besoins, dans une austérité quasi-monacale, toujours prêt à fuir.
Il se rend à Paris. Mais l’appel du calme, la recherche de la lumière, du soleil, des couleurs, de la nature et de l’art l’attirent là où vivent Matisse, Hartung, Picasso, Chagall etde Staël, sur la Côte d’Azur. Au cours d’une visite dans le sud de la France, il installe un atelier d’été dans un petit cabanon, sans eau, sans électricité, près du village d’Aspremont à quelques kilomètres de Nice. L’endroit ressemble à la Grèce, il achète le terrain... Superbe emplacement en pleine nature où le bleu de la mer et du ciel se confondent. Albert a trouvé son refuge. Il a 32 ans. Son œuvre est encore figurative, très simple, en aplats, représentant des personnages ou des portraits, à larges coups de pinceaux. La couleur noire est encore présente.
L’hiver à Paris, l’été à Aspremont. Durant cette période, sa peinture évolue vers l’abstraction, fortement influencée par les peintres Nicolas de Staël, Hans Hartung et Georges Mathieu. Il s’essaye alors à une peinture gestuelle avec des bombes à dispersion.
Albert Chubac avait gagné le sud de la France en moto avec un ami suisse du nom de Gindre. Quelques temps après, suite à un différend persistant entre eux, ils tirèrent au sort une petite maison qu’ils avaient achetée en commun et c’est Gindre qui l’a emporté. Chubac cependant restait dans les hauts du pays niçois mais dans une «caverne» (pas d’eau courante) qu’il put aménager plus tard (création d’un atelier) par lui-même.
1954
Il expose à la Galerie Aman à Genève, première galerie privée à lui consacrer une exposition personnelle. Hélas, sans grand succès : la galerie vend quelques œuvres de la période inspirée de l’Égypte. Entre 1954 et 1955, il séjourne à Londres, puis à Chelsea, répondant à l’invitation de la seconde épouse de Sir Alexandre Fleming (1881- 1955) qui l’y installe. De trente-et-un ans la cadette de celui-ci, Amalia Kutsouri-Voureka est née à Constantinople en 1912. Elle est méde- cin, et, surtout, une femme politique grecque très engagée. Albert l’a rencontrée en Grèce où la future Lady Fleming, obtenait son diplôme de docteur en médecine et militait activement pour la démocratie. Les bonnes relations avec le biologiste, qu’Albert a connu quelques mois avant la mort de celui-ci, lui permettent de vendre de petits col- lages « informels » . On est loin de l’univers des œuvres exposées à la galerie de Genève. Sir Alexandre Fleming décède. Albert ne sou- haite ni s’établir à Londres, ni se lier à une personne. Il rejoint le Sud et retrouve sa vie d’homme libre.
1955
Au cours d’un séjour sur la Côte d’Azur, Albert commence à fréquenter les futurs peintres Martial Raysse, dix-neuf ans, et Claude Gilli, dix-sept ans, étudiants en vacances, avec qui il développera une longue amitié.
1956
Exposition personnelle à Genève, Galerie Connaître.
1957
Albert participe à une exposition collective à la galerie Longchamp à Nice. Intitulée Peintres de 20 ans, elle regroupe des travaux sur toile de Jean Brandy, Albert Chubac, Claude Gilli et Martial Raysse. Les toiles présentées sont abstraites, façon École de Paris. Mar- tial Raysse, très proche d’Albert, le dynamise, cependant, Albert se veut davantage contemplatif. Gilli l’amuse, Albert se crée une joyeuse famille d’amis gais et cultivés. La même année, il obtient une expo- sition personnelle à la Galerie La Palette, à Zurich et, en 1958, une autre à la Galerie l’Entracte, à Lausanne.
1958
Les recherches de Chubac s’éloignent d’un cer- tain néo-classicisme pour se rapprocher de l’es- prit du Nouveau Réalisme. Il réalise des sculp- tures en fil de fer et boîtes de conserve, des bouts de ficelle, peintes de couleurs primaires, ainsi qu’avec toutes sortes de matériaux de récupération qui reprennent vie grâce à l’artiste. Raysse lui montre ses premiers travaux. Il ren- contre Ben, Alocco, Serge III, Venet...
Ben (Benjamin Vautier), ouvre en octobre son premier magasin/galerie à Nice, le « Labora- toire 32 » au 32 de la Rue Tonduti-de-l’Esca- rène, lieu informel artistique de rencontres, de discussions et d’expositions. Ben, l’agitateur, anime de mains de maître, ce lieu qui devien- dra mythique. Premières écritures et actions de Ben qui l’invite à participer à son exposition collective Scorbut avec Claude Gilli et Martial Raysse. Albert Chubac suit la mouvance de l’École de Nice et prend part à de nombreuses expositions collectives, sans se réclamer d’une quelconque appartenance. Il ne ralliera d’ail- leurs jamais un groupe particulier.
1960
Chubac a 40 ans. Il rencontre un marchand américain, Herbert Mayer, fondateur en 1953 de
la célèbre World House Gallery de New York sur Madison Avenue, qui aime son travail et décide de l’exposer après cinq mois de négocia- tions. Les œuvres exposées sont sobres et rigoureuses.
1961
Ainsi Albert Chubac est-t-il le premier artiste de l’École de Nice à être expo- sé aux Etats-Unis. Mais il ne fera pas le voyage, préférant aux bruits de la ville américaine le soleil et la tranquillité de son atelier... Voyager ne l’attire plus. Et puis, le monde commence à venir à lui ! Expositions collectives au Musée Rath, à Genève, et à la galerie L’œil écoute, à Lyon.
Chubac décide de s’installer définitive- ment à Aspremont. Il découvre dans une scierie proche un stock de bâtons de bois de section ronde et de différentes longueurs, puis, dans les drogueries du Vieux-Nice, un grand choix de pigments
de couleurs, qui vont donner une nouvelle orientation à son travail : il commence à réaliser des sculptures modifiables de couleurs vives, de nombreuses œuvres vont en découler...
Albert s’essaye à peindre de grands disques, des masses dynamiques géo- métriques, de couleur pure (bleu sur fond blanc, rouge sur fond blanc, noir sur fond blanc).
Naissance d'Albert Chubac à Genève le 29 décembre 1920. Fils de Louis Schub et d'Isabelle Pach. Les deux noms seront d'abord assemblés, puis transformés pour créer, dit la légende, le nom de Chubac sur les conseils de César.
Albert Chubac perd ses deux parents en 1938 à quelques mois d'intervalle. Il est ensuite élevé par sa grand-mère et son parrain. Celui-ci devient son tuteur.
Albert interrompt ses études secondaires pour entrer à l'école des Arts Décoratifs de Genève en 1942. Il aurait alors eu pour professeur Eric Poncy, médaille d'or à l'Exposition des arts décoratifs à Paris en 1925 et peintre de renom, célébré au musée Rath et présent au Salon d'Automne en 1938. La guerre modifia considérablement la carrière de Eric Poncy alors installé à Paris. De retour à Genève pour fuire la guerre, il devient un grand dessinateur de décors et de costumes aux côtés de de la marionnettiste Marcelle Moynier avec laquelle produit 19 spectacles du Théâtre des Marionnettes de Genève.
Il n'aurait cependant enseigné aux Arts décoratifs de Genève qu'entre 1948 et 1968.
Sorti diplômé des Arts Décoratifs en 1945, il entre à l'Ecole des Beaux-Arts et y reçoit l'enseignement de René Guinand (1892-1984).
1948 sonne l'heure de la liberté. Albert Chubac part quelques mois pour l'Espagne et fait la connaissance à Barcelone du céramiste Artigas. Cette rencontre est le départ du grande amité qui permettra à Albert Chubac, dans le courant de l'année 1949, de rencontrer le critique d'art Pierre Courthion. Ce dernier lui présente le travail de Nicolas de Staël.
1949 est celle du grand départ pour la découverte de l'Egypte. Une étape importante dans l'approche de Chubac qui découvre alors les grands aplats de couleurs des monuments égyptiens. Arrivé au Caire, il parcourt l'Egypte en compagnie d'un père Jésuite qui l'a pris sous sa protection. Ils vont ainsi jusqu'en Haute Egypte en suivant le Nil.
Un an plus tard, en 1950, Albert Chubac passe trois semaines au Mont Athos en compagnie de son ami l'écrivain Spiteris dont il illustrera un ouvrage.
Albert Chubac vit en Egypte en 1951 au milieu des populations locales. La situation politique de la région devient instable en octobre 1951. Albert Chubac, caché au milieu d'un groupe d'enfants juché sur des ânes, fuit l'Egypte. et se solde par l'attaque d'Ismaïlia par les Brittaniques et l'incendie du Caire en janvier 1952. La Révolution est en marche. et doit aboutir à la fin du royaume égyptien.
La même année, il obtient une exposition personnelle Musée du Zappion à Athènes.
En 1952, Albert Chubac achète une maison à Aspremont. Un cabanon sans route et sans électricité pour y séjourner tous les étés.
Au cours de l'année 1954, Albert Chubac expose à la Galerie Amman à Genève.
Entre 1954 et 1955, Albert chubac séjourne à Londres répondant ainsi à l'invitation de la seconde épouse de Sir Alexandre Fleming (1881- mars 1955). De 31 ans sa cadette Amalia Koutsouri-Voureka est née à Constantinople. Elle est médecin et, surtout, une femme politique grecque très engagée. Installé à Chelsea, ses relations avec Fleming lui permettent de vendre de petits collages informels.
Au cours d'un séjour sur la Côte d'Azur, Albert Chubac rencontre Martial Raysse et Claude Gilli en 1955.
1956, Exposition personnelle, Galerie Connaître, Genève.
1957. Exposition personnelle, Galerie La Palette, Zurich.
1957. Exposition collective Galerie Longchamp, Nice. Intitulée Peintres de 20 ans, elle réunit Albert Chubac, Claude Gilli, Martial Raysse. Les toiles présentées sont alors abstraites, à la façon de l'Ecole de Paris.
1958. Exposition personnelle, Galerie L'Entracte, au 4 rue du Lion d'or à Lausanne.
En 1958, le travail d'Albert Chubac se rapproche du travail des Nouveaux Réalistes. Albert Chubac utilise alors des matériaux de récupération pour sa production artistique. Ce sont alors des fils de fer et des objets de rebut qui reprennent vie.
1959. Exposition collective, intitulée "Scorbut", au Laboratoire 32, Magasin Ben, Nice. Elle réunit Ben, Albert Chubac, Claude Gilli et Martial Raysse.
1960. Albert Chubac s'installe définitivement à Aspremont.
1960. Exposition collective au Musée Rath, Genève
1961. Exposition personnelle à la Word House Gallery, New-York. Chubac est alors le premier artiste de l'Ecole de Nice à exposer aux Etats Unis, grâce au marchand américain Hubert Mayer.
1962. Exposition collective, Galerie Craven, Paris. Cette galerie, dirigée par John Craven, était installée au 3 rue des Beaux-Arts. dans le 6e arrondissement. Pionnier de l'art contemporain, John Craven est connu pour son talent à savoir dénicher les grands artistes de demain. Il exposera Ivan Avoscan, Hans Hartung, Emile Gilioli, Peter Klasen, Gina Pane, Wols, etc. Craven sera ensuite à l'origine du jardin de sculptures de Port Barcarès.
1962. Exposition collective, Hanover Gallery, Londres. Cette galerie, créée par Erica Brausen et Arthur Jeffress, se situait au 32 Sinat-George's Street. Connue pour avoir organisée la première exposition solo de Bacon, la galerie fermera en 1973.
1962. Exposition collective, Word House Gallery, New-York.
1963. Transition artistique qui amène Albert Chubac à délaisser progressivement les objets de rebut et le pinceau. La peinture est désormais propulsée par la bombe et les oeuvres intègrent des roues de vélos. La roue devient progressivement disque et la bombe disparaît peu à peu pour laisser la place aux grands aplats de couleurs vives.
1965. Exposition collective, IIIe Festival des Arts plastiques de la Côte d'Azur, musée de Saint-Paul de Vence.
1965. Exposition collective, galerie Argo, Nice.
1965. Exposition collective, Galerie René Laporte, Antibes.
1965. Exposition collective, Galerie Verrières, Cannes.
1965. Exposition collective à la Kunsthalle, Bern. L'édition de cette année 1965 a pour thème fédérateur : "Licht und Bewegung".
1966. Exposition collective, Festival des Arts Plastiques, Nice.
1966. Exposition collective "Ecole de Nice", Galerie L'Oeil Ecoute au 3 Quai Romain-Rolland à Lyon, en présence d'Arman, Chubac, Deschmaps, Farhi, Gilli, Venet, Viallat. Et avec Gette, Malaval et Pavlos. Le vernissage eut lieu le 19 novembre à 18h et resta en place jusqu'au 2 janvier 1967.
1966. Exposition collective, Maison de la Culture, Nice.
1966 - Exposition collective, musée de Céret. Première édition d'Impact du 15 juillet au 25 septembre 1966. L'exposition est organisée par Claude Viallat et Jacques Lepage. Elle réunit Arman, Ben, Vincent Bioulès, Pierre Buraglio, Albert Chubac, Dufo, Eppelé, Farhi, Gette, Gilli, Malaval, Michel Parmentier, François Rouan, Niele Toroni, Bernar Venet et Claude Viallat, etc.
1966. Exposition collective, Peintres Méditerranéens, Nice.
1966. Exposition collective, XXIIIe Biennale de Venise, Galeria de Leone "10 Superealisti", avec Arman, Ben, Jean-Claude Farhi, Armand Gette, Claude Gilli, Robert Malaval, Serge III, Bernar Venet, Claude Viallat. Martial Raysse obtient le prix David Bright récompensant un artiste de moins de 40 ans.
1967. Exposition collective à Chexbres en Suisse. intitulée "Aspects", elle s'est tenue du 1er septembre au 29 septembre 1967.
1967. Exposition collective "Ecole de Nice ?", Alexandre de la Salle, Vence. Cette exposition se tient du 18 mars au 18 avril et est organisée avec la collaboration de Francis Merino. Sont présents pour cette grande première : Marcel Alocco, Arman, Arnal, Ben, César, ALbert Chubac, Jean-Claude Farhi, Armand Gette, Claude Gilli, Robert Malaval, Annie Martin, Martial Raysse, Bernar Venet, Claude Villat. Le catalogue, devenu mythique, s'organise autour d'un texte de Pierre Restany. Arman réalise une lithographie pour l'occasion et Albert Chubac présente une construction.
1967. Exposition collective Galerie A, Nice, intitulée "Le litre de Var rouge supérieur, coûte 1,60" avec Marcel Alocco, Ben, Bozzi, Brecht, Albert Chubac, Dietman, Jean-Claude Farhi, Serge III, Claude Viallat.
1967. Exposition personnelle, Galerie Loo, Genève.
1967. Exposition collective, Salon Comparaisons, Paris.
1968. Exposition collective, Arts Plastiques Méditerranéens, du 28 septembre au 20 octobre 1968. Les Arts Plastiques méditerranéens ont été fondés entre aux par Edmond Vernassa. L'exposition se tient Salle de la Marine sur le Quai des Etats-Unis. Elle réunit Angeletti, Bard, Banzil, Brice, Chubac, Claude, Da milano, Dematteis, Hékimian, Jan, La Chaume, Le Pelch, Maccheroni, Marziani, Pastorini, Pédinielli, Pichette, Poumeyreau, Restivo, Rigoulet, Tessarolo, Tymen, Vernassa, Visly.
1968. Exposition collective organisée par Jacques Lepage dans le cadre du 5e Festival des Arts Plastiques de la Côte d'Azur à Nice et matérialisée par un dossier sous cartonnage à 200 exemplaire., regroupant des oeuvres. L'exposition Dossier réunit 47 participants ont moins de 35 ans et sont français ou étrangers. Ce sont : Marcel Alocco, Arcelli, André-Pierre Arnal, Baviera, Ben, Julien Blaine, Cane, Carrier, Henry Dody, Unal, Max Charvolen, Albert Chubac, De Rosny, Daniel Dezeuze, Noël Dolla, Garnier, Guy Rottier, Gerz, Gruppo P86 TL, Kanter, Kermarrec, Levasseur, Mahou, Messager, Jean-Claude Moineau, Raphaël Monticelli, Olivier Mosset, Mussion, Nanni, Osti, Pagès, Pedrotti, Poli, Pollet-Leclerc, Prosi, Rabascall, Reynal, Salvado, Sarenco, Sauzede et Favier, Patrick Saytour, Dorothée Selz, Severo, Surian, Tirouflet, Tobas, Torres, Claude Viallat.
1968. Exposition collective intitulée Ecole de Nice, Documents. Elle s'est tenue au Club Antonin Artaud, 19 rue Alberti à Nice, du 25 Décembre 1967 au 7 Janvier 1968. Sont représentés : Marcel Alocco, Arman, Ben, Biga, Brecht, Albert Chubac, Jean-Claude Fargi, Armand Gette, Claude Gilli, Yves Klein, Pollet-Leclerq, Robert Malaval, Martial Raysse, Tréal, Bernar Venet, Claude Viallat.
1968. Expositions collective en plein air à Fiumalbo et Novare en Italie.
1968. Exposition collective, Galerie Bonnier, Lausanne.
1968. Exposition personnelle intitulée "Peintures" chez Alexandre de la Salle à Vence. Elle se tient du 30 mars au 11 mai 1968.
1968. Exposition collective, Galerie Salmon, Mouvement des Arts Plastiques Méditerranéens au 58 Boulevard Victori Hugo, Nice.
1968. Exposition collective, Galerie Schwartz, Milan.
1968. Exposition collective au musée de l'Athénée à Genève.
1968. Exposition collective à Novare. Intitulée "Un paese + L'avanguardia artistica". Ouverte le 5 octobre l'exposition dure jusq'au 18 octobre. Avec Marcel Alocco, Albert Chubac, Noël Dolla, Bernard Pagès et Claude Viallat.
1968. Exposition collective. Intitulée Oltre L'Avanguardia, elle s'est tenue à Anfo, en Italie.
1968. Exposition collective et de plein air, sur la plage de la Croisette, devant le Palais des Festivals, à Cannes. L'exposition se tient pendant les événements de 68 et rassemble Marcel Alocco, Albert Chubac, Patrick Saytour et Claude Viallat. Viallat, en raison des événements ne pourra faire le déplacement.
1968. Exposition collective, Salon d'automne à Lyon, Palais de Bondy, "Ecole et Néo-Ecole niçoises", Marcel Alocco, Albert Chubac, Noël Dolla, Patrick Saytour, Bernar Venet, Claude Viallat.
1969. Environs, Origines de Nice, Tours.
1969. Exposition collective, Galerie Svensk Franska, Stockholm.
1969. Exposition collective, Maison de la Culture de Montpellier.
1969. Exposition collective, Maison des Artistes, de septembre et octobre 1969, avec Leconte, Pedro et Chubac, Haut de Cagnes.
1969. Exposition collective, Salon de Mai, Paris, du 12 mai au 1er Juin 1969. Sont présents : Marcel Alocco, Ben, Max Charvolen, Albert Chubac, Dietman, Jean-Claude Farhi, Armand Gette, Claude Gilli, Pagès, De Rosny, Roualdès, Patrick Saytour, Claude Viallat.
1969. Exposition collective Sigma 5 à Bordeaux, du 17 novembre au 7 décembre 1969. Placée sous le thème de "Recherche et Province", l'exposition réunit dans l'enceinte de la galerie-exposition des Beaux-Arts de Bordeaux, des artistes de l'Ecole de Nice, de l'Ecole de Vierzon, le groupe du Centre d'Art Plastique d'Acquitaine et le groupe des Beaux-Arts. En guise d'inauguration de l'exposition, un happening de Pierre Pinoncelli "Mort au pain" où il brûle place public quelques centaines de pains et en peint d'autres avant de finir nu ; un happening de Serge III pour un concert Fluxus et une agression d'ecargots vivants par Gilli.
Sont présents : Marcel Alocco, Arman, Ben, Albert Chubac, Dietman, Noël Dolla, Jean-Claude Fahri, Fredrikson, Armand gette, Claude Gilli, Ischi, Robert Malaval, Pagès, Patrick Saytour, Serge III, Tobas, Venet, Viallat.
1970. Exposition collective, Biennale de Menton, 1970.
1970. Exposition collective, Cent artistes dans la ville, Montpellier du 5 au 20 mai 1970. L'exposition est organisée par Tjeerd Alkema, Jean Azémard, Alain Clément et Vincent Bioulès, qui viennent de créer un an plus tôt le groupe ABC Productions. Y participent : Marcel Alocco, Anderson, André-Pierre Arnal, Vincent Bioulès, Louis Cane, Max Charvolen, Albert Chubac, Marc Devade, Daniel Dezeuze, Noël Dolla, Serge Maccaferri, Martin Miguel, Bernard Pagès, Pincemin, Patrick Saytour, Serge III, André Valensi, Claude Viallat.
1970. Exposition personnelle, Galerie Royal Luxembourg, un espace situé au 7 Promenade des Anglais à Nice. Chubac y présente alors un ensemble de scultpures en plexiglas du 20 août à septembre 1970.
1970. Exposition personnelle Maison de la Culture Le Corbusier, Firminy.
1970. Exposition personnelle, Maison des Jeunes et de la Culture de Magnan, Nice, du 20 mai au 30 juin 1970.
1970. Exposition collective, Rencontres, Limoges.
1970. Exposition collective, Salon des Réalités Nouvelles, Paris.
1971. Exposition collective, Galerie Denise René, Paris.
1971. Exposition collective, Galerie des 4 mouvements, Paris.
1971. Exposition personnelle, Galerie Fernand Léger à Malakoff.
1971. Galerie Germain, Paris
1971. Exposition collective, Jacqueline Ranson, Paris.
1971. Exposition collective, Galerie Lacloche, Paris.
1971. Exposition collective, Musée Galliéra, Paris.
1972. Exposition d'Albert Chubac sur la plage de son village à Aspremont.
1972. Exposition collective, Comparaisons, Copenhague.
1972. Exposition collective, Galerie Lucien Durand, Paris.
1972. Exposition collective, Galerie Lucien Durand, Paris.
1972. Exposition collective, Jardin d'explosition, Saint-Paul. Celle-ci est organisée par par le peintre Henri Baviéra dans sa maison de Saint-Paul du 13 au 23 juillet 1972. Une cinquantaine de plasticiens et de musiciens y participent. Y sont présents : Marcel Alocco, Henri Baviéra, Ben, Daniel Biga, Borsotto, Louis Chacallis, Max Charvolen, Albert Chubac, Noël Dolla, Vivien Isnard, Serge Maccaferri, Martin Miguel, Roualdès, André Verdet, Claude Viallat.
1972. Exposition collective, Musée d'Art et d'Industrie, Saint-Etienne.
1972. Exposition collective, Nerolium, Vallauris.
1972. Exposition collective, Sculpture contemporaine, Montmirail.
1973. Exposition collective, Galerie Defacqz, Bruxelles.
1973. Exposition collective, Galerie Ferrero à Nice, du 14 octobre au 5 janvier 1973. On trouve dans cette première rétrospective sur l'Ecole de Nice, des oeuvres de Marcel Alocco, Arman, Ben, Daniel Biga, Bizoz, César, Louis Chacallis, Max Charvolen, Albert Chubac, Noël Dolla, Erebo, Jean-Claude Farhi, Roland Flexner, Goa, Claude Gilli, Vivien Isnard, Yves Klein, Lachèze, Serge Maccaferri, Robert Malaval, Martinez, Martin Miguel, Martial Raysse, Serge III, Sacha Sosno, Tréal, Bernar Venet, André Verdet, Edmond Vernassa, Wurz.
1973. Exposition collective, "Les Masques", Galerie Germain, Paris.
1973. Parution de NON LIEU, édition de Jacques Lepage en 70 exemplaires signés et numérotés, comportant des textes de Lepage. Chaque artiste crée une œuvre originale : Arman (lithographie), Ben (écriture manuscrite), Cane (tissage), Chubac (multiple), Dolla (lithographie), Farhi (sérigraphie)
1974. Exposition personnelle Art Club, Antibes.
1974. Exposition collective, Foire de Düsseldorf.
1974. Exposition collective, "10 artistes de l'Ecole de Nice", organisée chez Alexandre de la Salle à Saint-Paul. Sont représentés : Marcel Alocco, Arman, Ben, Albert Chubac, Claude Gilli, Yves Klein, Robert Malaval, Martial Raysse, André Verdet. L'affiche est réalisée par Arman avec des tampons Ecole de Nice.
1974. Exposition collective, Galerie Arts-Contacts, Paris.
1974. Exposition collective, Galerie Lanzenberg, Bruxelles.
1974. Exposition personnelle, Galerie Jacques Boudin, Nice.
1975. Exposition collective, La Peinture à Jouy.
1975. Dans le cadre du Festival du livre de Nice du 3 mai au 8 mai, le public du du festival du livre découvre des oeuvres de Macel Alocco, Daniel Biga, Albert Chubac, Erebo, Goalec, Groupe 70, Jean Mas, Serge III, Bernard Tréal.
1976. Exposition Ecole de Nice à Tokyo au Japon.
1976. Exposition collective, Maison de la Culture, Beauvais.
1977. Exposition collective, "A propos de Nice", Musée national d'Art Moderne, Centre Georges Pompidou, Paris.
1977. Exposition collective, Ecole de Nice ! Galerie Alexandre de la Salle, Saint-Paul. De nouveaux créateurs rejoignent le clan des vétérans : Charvolen, Chacallis, Dolla, Flexner, Isnard, Maccaferri, Miguel, Pinoncelli ; César était absent de l’exposition. Catalogue avec des textes de Jacques Lepage, Raphaël Monticelli, Pierre Restany.
1978. Exposition collective - Alexandre de la Salle participe en 1978 à la première foire de New-York. Il y présente des oeuvres d'Albert Chubac.
1978. Exposition personnelle, Galerie Anne Roger, Nice.
1978. Exposition collective. La galerie associative Gal/Athée, 7 rue Saint François de Paule à Nice expose du 17 février au 17 mars Baud, Beiso, Ben, Caire, Chubac, Cocco, Dupuy, Erebo, Gresse, Guibert, Guillot, Lafargue, Lassalle, Lestrade, Loussaut, Renouf, Slobodan, Spapperi, Tasic, Thiry, Viguier.
1979. Exposition collective. Le CARI propose en octobre et novembre, « Sculpture à la Villa Arson ou l’Espace en question » avec la participation de Anasse, Angel, Cantin, Chubac, Farioli, Fredrikson, Gunji, Ischi, Logan, Martin, Rossigneux, Vernassa. Le catalogue reproduit un texte de chaque artiste.
1979. « Nice à Berlin », (« Nizza in Berlin ») à la DAAD Galerie de Berlin, une exposition organisée par des Niçois : Claude Fournet, Ben Vautier, Marc Sanchez avec leurs homologues allemands. Deux grandes lignes de force se dégagent, faisant l’objet chacune d’une exposition : « Idée, Concept et Objet » réunissant Arman, Ben, Casimiro, César, Chubac, Doytier, Farhi, Farioli, Filliou, Gilli, Gunji, Mas, Serge III, Sosno et Verdet et « Peinture-Abstraction et Couleur » avec Alocco, Borsotto, Castellas, Chaumard, Dolla, Charvolen, Miguel, Maccaferri, Lanneau, Marcier, Pagès, Saytour et Sérée. L’un des critères étant de réunir des artistes résidant et travaillant à Nice de manière régulière.
1980. Exposition personnelle intitulée "Peintures", Galerie de la Salle, Saint-Paul du 8 août au 9 septembre 1980.
1980. Exposition collective du 19 décembre 1980 au 31 janvier 1981 avec Marcel Alocco, Aren Quin, Arman, César, Albert Chubac, Rpbert Malaval, Jacques Villeglé.
1981. Exposition collective : La galerie De La salle présente une exposition de groupe du 19 décembre au 31 janvier 1981 avec Alocco, Arden Quin, Arman, César, Chubac, Malaval, Villeglé et Giordan.
1981. Exposition personnelle, Lieu 5, Nice du 13 février au 20 mars 1981.
1982. Exposition collective, galerie de la Salle pendant la Fiac, Paris,
1982. Exposition personnelle, Galerie Luisella D'alessandro à Turin, orgnanisée par Alexandre de la Salle.
1983. Exposition personnelle, galerie Anne Roger, Nice.
1983. Exposition personnelle, Galerie d'Art contemporain des musées de Nice du 21 mai ay 26 juin 1983, 59 Quai des Etats-Unis. L'exposition se concentre sur un ensemble de pièces récentes. Commissaire de l'exposition : Marc Sanchez.
1983. Exposition personnelle, Galerie de la Salle, Saint-Paul.
1983. Exposition personnelle intitulée "Collages", organisée par Alexandre de la Salle à Saint-Paul.
1983. Expositions collectives dans les gares de la Côte d’Azur.
1983. Les artistes partent à la rencontre du public le 3 avril Cours Saleya à Nice : participation de Castellas, Albert Chubac, DoytierMoya, Thupinier, Sosno et Raymond Hains en visiteur.
1984. Exposition collective et itinérante intitulée "Cinq plasticiens, après voir". L'exposition est présentée au musée Hébert à Grenonble, au centre d'Action Culturelle d'Annecy et à l'Atrium de Lyon.
1984. Exposition personnelle galerie Godar à Lille. La galerie se trouve au 15 rue des Bouchers à Lille.
1984. Séries de manifestations à Nice, à l’occasion de la présentation du Fonds d’Art Contemporain des musées de Nice, Nice, « l’Art contemporain au Musée » dans les deux galeries du bord de mer (GAC et Ponchettes, 29 septembre-18 novembre). Huit films de plasticiens de l’Ecole de Nice sont projetés à compter du mardi 2 octobre : Arman, Raysse, Sosno, César, Dolla, Gilli, Ben, Chubac. Conception Jacques Lepage et réalisation René Prédal
1984. Exposition collective à la villa Arson, Nice, titrée "Sculpture à la Villa Arson".
1984. Exposition personnelle, Galerie Luisella D'alessandro à Turin, orgnanisée par Alexandre de la Salle.
1985. Exposition personnelle, galerie Galice, Thonon-les-Bains.
1985. Exposition collective CNAC, Villa Arson, Nice.
1986. Exposition collective, « Act n’Art, Sculpture dans la ville », Thonon-les-Bains.
1986. Exposition collective, « Cinq sculpteurs », Université de Toulon
1987. La galerie de la Salle, Saint Paul de Vence, présente « Ecole de Nice…20 ans après 1967-1987 », avec Marcel Alocco, Arman, Ben, CAlbert hubac, Jean-Claude Farhi, Claude Gilli, Yves Klein, Robert Malaval, Serge III, Martial Raysse, Sacha Sosno, Bernar Venet, André Verdet, du 8 août au 10 septembre.
1987. Exposition collective organisée du 26 décembre 1987 au 31 janvier 1988 par Alexandre de la Salle et intitulée « Abstraction Géométrique » : avec Arden Quin, Belleudy, Caral, Albert Chubac, Decq, Garcia-Rossi, Garibbo, Jean Leppien, Presta.
1988. Albert Chubac réalise un décor-podium pour la Mutualite Française à Nice, Place Masséna.
1988. Deux expositions personnelles, galerie Argéco, place Garibaldi à Nice, la première étant réalisée à l’occasion de l’ouverture de la galerie.
1988. Exposition collective, Galerie de la Salle, du 9 septembre au 9 octobre : « Abstraction géométrique » avec Arden Quin, Bolivar, Albert Chubac, Decq, Garcia-Rossi, Garibbo, Jean Leppien, Aurélie Nemours.
1988. Exposition personnelle à la galerie Triade de Barbizon.
1989. Exposition collective où Alexandre de la Salle expose Chubac lors de l'édition d'Art Jonction, foire créée par Lola Gassin en 1985.
1989. Exposition collective organisée par le Groupe Quartz à Vallauris en 1989. L'exposition réunit Cantin, Chubac, Coville, Féraud, Franta, Lavarenne, Nivese, etc. et a donné lieu à la création d'un petite catalogue broché enrichi d'illustrations en noir, 20 x 20 cm, 1989.
1989. Exposition collective intitulée « Le Blanc et le Noir », peintures, sculptures, dessins, photographies, avec notamment Angel, Ben, Carhaix, Casimiro, Castellas, Chubac, Fenollabbate, Lanneau, Marcier, Picabia, Sérée, Thupinier
1989. Exposition personnelle intitulée "Structures murales et spatiales", Saint-Paul.
1989. Exposition personnelle chez Lola Gassin en collaboration avec Alain Amiel directeur de la revue Z'Editions. A cette occasion sort un ouvrage sur Albert Chubac.
1989. Expositions collectives en 1989 et 1990 à travers les Etats-Unis. Cet épisode est présenté dans le catalogue de l'exposition. L'Ecole de Nice et ses mouvements : Exposition itinérante Etats-Unis 1989/1990 [The John and Mable Museum, Sarasota, octobre - novembre 1989 ; Bass Museum of Art, Miami Beach, mars - avril 1990]. Texte de Sam Hunter. 160 p. : ill. ; 27 cm.
1990. Présence à Art Jonction probablement avec la Golden Gallery.
1990. Exposition personnelle, galerie François Moulin, 38 rue Franklin, Lyon.
1990. Albert Chubac réalise quatre mobiles monumentaux pour le Musée d'Art moderne et d'Art contemporain de la ville de Nice (Mamac).
1990. Exposition collective, Salon Ambivalences de 1990 à Paris avec la Galerie Alexandre de la Salle.
1991. Exposition collective, Fondation Sicard-Iperti, 353, montée des Impiniers, Vallauris.
1991. Exposition personnelle intitulée "Structures murales et spatiales", Galerie Alexandre de la Salle, Saint-Paul.
1991. Exposition collective, Salon Découvertes à Paris en 1991.
1992. La ville de Cannes fait l'acquisition d'une oeuvre d'Albert Chubac.
1992. La Galerie G, créée à Besançon par Jean Greset, présente une exposition dédiée à Albert Chubac.
1992. Exposition collective intitulée Plastique dans l'art contemporain à Oyonnax.
1992. Exposition collective intitulée Abstraction géométrique chez Alexandre de la Salle
1993. « Ben, Alocco, Chubac », galerie A. Ondin, Paris
1993. Exposition personnelle, Galerie Françoise Moulin à Lyon.
1993. Exposition personnelle à la Maison des Comoni, Le Revest-les-Eaux.
1993. 10 artistes de l'Ecole de nice Nice au musée de Belfort.
1993. Salon de Montrouge. Exposition collective au son Une "certaine idée de la Méditerranée - Nice", telle était le nom de l'exposition qui s'est déroulée du 5 mai au 6 juin 1993 à l'occasion de la 38 eme édition de l'événement. Cette exposition historique présentait une œuvre des années 60-70 et une autre récente des artistes suivants : Marcel Alocco, Arman, Ben, Cesar, Louis Chacallis, Max Charvolen, Albert Chubac, Jean-Claude Fahri, Claude Gilli, Yves Klein, Serge Maccaferri, Robert Malaval, Martin Miguel, Bernard Pages, Serge III, Sacha Sosno et Bernar Venet.
1994. Exposition personnelle Espace Caravadossi à Aspremont.
1995. Expositions collectives « Ecole de Nice », Tokyo et Corée du Sud.
1996. Exposition collective au Mamac à Nice, Chimériques polymères.
1996. Exposition personnelle, espace Delille à Nice.
1996. Des artistes, des mouvements, film réalisé par le Conseil Général des Alpes-Maritimes/ AFAA, sur quelques artistes de l‘Ecole de Nice, Arman, Cane, César, Sosno, Chubac, Ben, Viallat, Dupuy.
1997. Exposition collective intitulée le Papier à la Une chez Alexandre de la Salle.
1997. Expositon collective à Art Jonction Nice
1997. Exposition personnelle, Galerie de la Salle, Saint-Paul.
1997. Exposition collective, Galerie Alexandre de la Salle, "Ecole de Nice."
1999. Exposition collective organisée par Alexandre de la Salle à l'occasion de la fermeture de la Galerie Alexandre de la Salle.
2002. Exposition personnelle à Nice dans la Galerie Scholtès, galerie tenue par le fils d'un autre artiste installé dans la région : Joël Scholtès.
2002. Expposition collective, Maison des arts de Carcès à l'occasion de son ouverture.
2004. Exposiion personnelle, Musée d'Art contemporain de la ville de Nice.
2008. Albert Chubac s'éteint dans la nuit du 4 mai 2008 à Tourette-Levens.
2013. Du 3 décembre 2013 au 9 février 2014, la Galerie municipale des Ponchettes à Nice propose une exposition d’œuvres d’Albert Chubac appartenant à la collection du Musée d’Art Moderne et d’Art Contemporain de la Ville de Nice.