Académie Atelier Léon Cogniet

Léon Cogniet est un artiste qui jouit d'une très large renommée au 19e siècle. on estime aujourd'hui que plus de 400 artistes ont fréquenté les cours du Maître. D'abord ceux de son atelier personnel qu'il ouvre Paris rue de la Grange aux Belles en 1822, puis ceux de la rue de la Cité à partir de 1830. Au tournant de l'année 1840, il se consacre pleinement à l'enseignement. Professeur à l'Académie des Beaux Arts, il enseigne également au Lycée Louis Le Grand où il croise le jeune Edgar Degas. Devenu un incontournable de la formation en Art, il ouvre également un atelier destiné aux femmes et dirigé par sa soeur, Marie-Emile Cogniet, et sa femme Caroline Thévenin, épousée en 1865.

On connaît aussi le nom des modèles : Merchaix, Dubosc, Georgette, Marie et Clara. Clara, âgée de 16 ans, devint le modèle privé de Léon Cogniet. Enseignent dans ces ateliers, Henry Axelfeld, Félix Joseph Barrias, Eugène Girardet, Charles Théodore Frère dit Frère Bey, Eugène Ernest Hillemacher, Emile Vernet-Lecomte, Evariste-Vital Luminais, Gustav Richter, Vincent Alfred Jules Rigo, Jules Vignon, François le Villain, Henryk Rodakowski. A l'occasion de sa nomination à l'institut, un banquet est organisé en son honneur, réunissant plus de 100 élèves, les anciens comme les nouveaux.

Atelier Cogniet par sa soeur Marie Amélie Cogniet, 1831
Principales expositions

Salon de 1857, Paris, où au moins 9 de ses élèves figurent dans l'accrochage.

Textes fondateurs
Institut de France

Notice sur M. Léon Cogniet par Léon Bonnat, lue dans la séance de l'Académie des beaux arts du 17 février 1883.

MESSIEURS,

Le peintre célèbre et vénérable que j'ai eu l'insigne honneur de remplacer à l'Académie, Léon Cogniet, mon maître était né en 1791. Il avait donc à sa mort, atteint le grand âge de quatre-vingt-sept ans.

Jamais carrière aussi longue ne fut remplie plus dignement et avec plus d'honneur.

Fils d'un dessinateur pour papiers peints, M. Cogniet entendit, dès son enfance, parler de dessin, de forme, de couleur, et vécut dans une atmosphère qui ne dut pas être étrangère à sa vocation. Ses rêves d'enfant firent résonner à ses oreilles les grands noms de l'art, et peut-être son cœur se remplit-il, dès lors, du noble idéal qui a été l'ambition de sa carrière, la joie de sa vie.

Il serait intéressant de savoir à quelles influences secrètes sont dues les vocations des hommes de haute valeur, comment naît et s'imprime dans leur esprit l'idée qui doit les conduire dans la vie.

A mon sens, le milieu dans lequel ils naissent, les impressions du tout jeune âge, l'éducation première contribuent, autant ou plus que les causes postérieures, à l'éclosion des vocations irrésistibles. Michel-Ange disait devoir ce qu'il avait dans le cœur à l'air pur d'Arezzo et au lait qu'il y avait sucé.

A ce point de vue, Léon Cogniet était à la bonne source. Il suffit de se promener au Louvre, un jour de fête, et d'y suivre les familles d'artisans qui vont s'y instruire, pour comprendre que l'amour et le goût des arts ont des racines profondes dans cette intelligente population industrielle. dont les produits se répandent partout.

Toutefois, si M. Cogniet puisa dans sa famille ses aspirations vers l'art, ce ne fut pas sans difficultés qu'il put en aborder l'étude et qu'il obtint l'autorisation d'en apprendre les éléments. Son père homme de sens, disait avec raison que, dans les arts, « il ne faut pas être médiocre », et il fallut vaincre de légitimes scrupules pour qu'il permit à son fils de suivre la carrière vers laquelle son instinct le poussait. Quoi qu'il en soit, Léon Cogniet entra à dix-huit ans dans l'atelier de Guérin. Ses progrès y furent rapides. A vingt et un ans il obtenait un second prix, deux ans plus tard il remportait le premier. Il put pour camarades d'atelier, Delacroix, Géricault, Scheffer. Ces illustres amis devaient, paraît-il, avoir peu d'influence sur le talent de M. Cogniet. Ni la brillante imagination du premier, ni la puissante interprétation, la fougue du second ne purent le détourner de sa voie. Doué d'un esprit délicat, rêveur, il resta lui. Il resta lui, même à Rome, malgré le Vatican et la Chapelle Sixtine. Là aussi, pas plus la jeunesse éternelle de Raphaël que la terrible grandeur de Michel-Ange n'eurent la moindre influence apparente sur son talent. Il resta lui et le resta toute sa vie. Cet homme d'une fierté simple, n'était pas fait pour emboîter le pas derrière une personnalité, quelque grande qu'elle fût, et, même, devant les chefs-d'œuvre des demi-dieux qu'a enfantés l'Italie, il se disait que le but était autre et ailleurs.

En effet, la nature pour, lui était ce but : il l'aimait ; il l'aimait en amoureux, en poète et en peintre. Il l'aima toute sa vie! Jusqu'au dernier jour, un nuage, passant sur le ciel bleu, l'entraîna avec lui dans sa course vers l'infini, et jusqu'à la dernière heure les splendeurs d'un soleil couchant rassérénèrent son âme émue. En vrai peintre qu'il était, il comprit la nature à sa guise sans se soucier beaucoup de la façon dont ses prédécesseurs l'avaient interprétée; et si ses tableaux, malgré cette préoccupation constante de la nature, portent une légère empreinte de la peinture du commencement du siècle, il faut s'en prendre aux leçons du premier enseignement, aux souvenirs ineffaçables des premières impressions, au culte qu'il avait pour son maître, culte touchant et qui n'est mort qu'avec lui.

La forte main de Louis David avait imposé à l'École française, je pourrais dire à toutes les écoles en Europe, de Madrid à Saint-Pétersbourg, certains canons, certaines règles d'ailleurs très élevées, en dehors desquelles il n'était point de salut et dont il était bien difficile à un élève de Guérin de pouvoir s'écarter entièrement. D'autres, dira-t-on, obéissant à un tempérament plus ardent, plus énergique, ont puisé, en eux la force de s'en affranchir; c'est vrai, mais la nature fine, contemplative, de M. Cogniet n'était pas créée pour les résolutions hardies, et cependant, plus que tout autre, par ses conseils, par ses tendances, par ses exemples, M. Cogniet a exercé une influence considérable sur la transformation de l'art à son époque. Plus que tout autre il a aidé l'art français à sortir de certaines formules qui entravaient son essor et le retenaient prisonnier, son amour ardent pour la nature fit de lui une sorte de réformateur, de précurseur. Dès 1831, le voilà dans sa plus belle œuvre, dans son œuvre la plus importante, Bonaparte en Égypte, œuvre si personnelle et si française, poursuivant avec passion la couleur locale, cherchant l'effet vrai, s'efforçant de rendre le soleil et l'éclat de l'Orient.

La vérité de la mise en scène, du milieu dans lequel se meut le sujet qu'il représente, cette vérité presque inconnue avant lui dans la peinture d'histoire, devient chez le maître un des côtés les plus saillants de son art. Vers le milieu de sa carrière, dans une de ses toiles qui eut un grand retentissement, le Tintoret au lit de mort de sa fille, il rend l'effet de son tableau plus saisissant, plus poignant, plus réel même, en faisant intervenir une pâle lueur du jour naissant qui lutte avec la lumière rouge de la lampe mourante éclairant les personnages. — Plus tard, enfin, lorsque sa main fut devenue chancelante, à la fin de sa vie, et dans sa dernière œuvre, les Mages en vue de Bethléem, M. Cogniet reste fidèle à son amour de la vérité.

La scène se passe la nuit, sous un ciel étoilé. La sainte caravane, marchant vers l'idéal, s'avance silencieusement au milieu des bois d'oliviers dont les silhouettes indécises serpentent jusqu'à l'horizon aux pieds des montagnes bleues. Un grand sentiment de poésie se dégage de ce tableau, et devant l'œuvre de ce vieillard, dont l'imagination est restée si jeune, j'éprouvai une vive émotion. Il me vint au cœur des souvenirs de ce beau pays de Judée vers lequel nos aspirations nous portent dès la jeunesse, et que j'ai eu la joie de parcourir jadis avec un de nos chers confrères. — M. Cogniet ne connaissait pas l'Orient, mais son imagination y suppléait.

- Je n'ai pas à rechercher, ici, si cette préoccupation constante des effets, de la vérité de l'aspect, est inspirée par les plus hautes tendances vers ce qu'on est convenu d'appeler le grand art. En paysage elle a fait naître, il est vrai, cette admirable école qui fait si grand honneur à mon pays, mais je me demande si la peinture historique, la peinture des sentiments humains, gagne à cette recherche minutieuse de la vérité, et si, au lieu de fortifier l'expression de ce sentiment, cette recherche ne lui enlève pas de sa force. Je nie demande, par exemple, si les sublimes figures de la voûte de la Sixtine ne perdraient pas de leur beauté, de leur grandeur, de leur immortalité, et, au lieu de se découper puissamment sur un fond gris tout simple, elles étaient environnées de fonds plus aimables, plus en harmonie avec les sujets représentés dans ces fresques.



Il ne m'appartient pas de trancher ici cette question, surtout eu parlant de l'œuvre de l'homme qui fut mon maître, et si je me suis permis d'y faire allusion, c'est afin de constater que M. Cogniet est bien un novateur, qu'il a créé un élément nouveau d'expression, et que même il a été, ainsi que je le disais tout à l'heure, un des précurseurs de l'Ecole moderne. Il l'a été certainement, et non seulement par son exemple, mais surtout par ses conseils et par son enseignement. M. Cogniet, en effet, a en un atelier extrêmement suivi, dans lequel des générations de nombreux élèves se sont succédé.



Quelques-uns des plus vaillants ont l'honneur de siéger parmi vous.

Il aimait l'enseignement et l'aimait à sa façon.

Je l'ai connu sur le tard, alors que, fatigué soit par sa carrière déjà longue, soit par sa santé toujours débile, il allait peu à l'atelier de ses élèves. Les mois se passaient souvent sans qu'on reçût sa visite si impatiemment attendue. J'étais très étonné alors de cette espèce de négligence, de cet abandon qui nous laissait dans le doute, dans l'indécision, dans l'ignorance presque absolue sur la voie à suivre. J'ai pensé, depuis, que cet abandon n'était qu'apparent et très probablement volontaire. Il savait que l'on n'apprend bien que ce que l'on apprend soi-même en tâtonnant, en cherchant. Il pensait que l'enseignement mutuel est le plus efficace des enseignements, et enfin, et surtout, il ne voulait pas imposer à ses élèves sa manière de voir, de comprendre et de traduire la vie. Ce qui me donne à penser que ce système était le fruit de ses réflexions, c'est que je trouve ces opinions exprimées avec une très grande force dans les quelques notes qui nous restent de lui. C'est toujours le même thème dominant. Il en causait volontiers avec ses amis, on le retrouve constamment dans ses pensées écrites :

« Etudiez les maîtres, n'en copiez aucun. — Ne vous inspirez que de la nature." Et encore : "La meilleure manière dans l'art est de n'avoir aucune manière. La pire des manières est d'errer sans cesse de l'une à l'autre soit par incertitude, soit par esprit d'imitation. Il est bien entendu qu'il ne peut être question des élèves dont les hésitations sont toutes naturelles et plutôt louables ; mais l'artiste approchant de 1a maturité de son talent a pu et dû observer, réfléchir, comparer assez pour rester convaincu que c'est à son sentiment personnel qu'il est tenu d'en appeler désormais, faute de quoi il doit se résigner à n'être jamais qu'un pâle reflet du sentiment d'un ou de plusieurs autres : soit d'un maître, et il ne sera qu'un froid copiste, soit de plusieurs autres, alors il ne sera rien."

Artistes associés

François-Barthélemy-Marius Abel, Léon Désiré Alexandre, Jean-Baptiste Alix, Antoine-Julien Alizard, Célestin Allard-Cambray, Auguste Allongé, Pierre d'Allonville, André Alrespi, Joseph Aubanel, Joseph Désiré Aubert, Florence Aublet, Alfred Éloi Auteroche, Henry Axelfeld, Gédéon Baril, Stéphane Baron, Félix-Joseph Barrias, Louis-Ernest Barrias, Eugène Battaille, Émile Bayard, Hippolyte Beauvais, François-Léon Benouville, Philéas Félix Bermond, Pierre Émile Berthélemy, Nicolas Berthon, Léon Berthoud, Michel-Amédée Besnus, Melle Biet, Jean Baptiste Philippe Emile Bin, Charles Octave Blanchard, Nils Blommér, Rosa Bonheur, Léon Bonnat, Henri-Arthur Bonnefoy, Auguste Bouchet, Alfred Boucher, Auguste Boulard, Hortense Bourgeois, Narcisse Bourgeon, Adolphe Bourgoin, Maria Bricka, Félix Brissot de Warville, Marie-Abraham Rosalbin de Buncey, Léon Émile Caille, Adolphe Jean-Baptiste Callot, Adolphe-Félix Cals, Jules Désiré Caudron, Changrenier, Henri Chapu, Paul Antoine Charbonnel, Eugène-Louis Charpentier, Gustave-Adolphe Chassevent-Bacques, Laure de Chatillon-Delaune, Marguerite-Marie Chenu, François Chifflard, Martin Claverie, Jacques-François-Camille Clère, Alfred Cluysenaar, Louis-Eugène Coedès, Marie Pauline Coeffier, Marie-Amélie Cogniet, Pierre Louis Joseph de Coninck, Pierre Auguste Cot, Antonio Maria Cotti, Charles Cousin, Marie-Adélaïde Curtis, Adolphe Jean François Marin Dallemagne, Célestin Danguy, Alfred Darjou, Anatole Dauvergne, Gustave Joseph Debrie, Eugène Decan, Alfred Dedreux, Henry Degray, Alfred Dehodencq, Gustave Henri Eugène Delhumeau, Charles Théophile Demory, Jean-Baptiste Charles Desgrange, Elisa Desrivières, Henri Prosper Alfred Destailleur, Auguste Désiré Louis Deully, Jules Didier, Clémence Dimier, Charles Doërr, Elisa Drojat, Marguerite Fanny Dubois, Camille Dufour, Henri-Louis Dupray, Gustave Dupré, Félicie Dupré, Pierre Félix Dupuis, Godefroy Durand, Léonie Dusseuil, Louis Jean Noël Duveau, Louise Eudes de Guimard, Antoine Fauchery, Marie Faye, Amélie Léonie Fayet, Amélie Léonie Fayolle, Anna Désirée Félix, Dominique Félix, Auguste François Joseph Féragu, Jules Descartes Ferat, Augustin Feyen-Perrin, Eugène François Fines, Edme-Adolphe Fontaine, Marie Fontaine, Bertha Formstecher, Emma Formstecher, Félix Fossey, Albert Fournier, Alexandre Fournier, Félicie Fournier-Schenaider, Charles-Théodore Frère, Julien Gustave Gagliardini, Claude-Ferdinand Gaillard, Auguste Gardanne, Alphonse Gaudefroy, Amand Gautier, Wojciech Gerson, François Théophile Etienne Gide, Karl Girardet, Eugène Gluck, Adam Gosniewski, Joseph René Gouézou, Marie Gouget, Nicolas Henry de Gray, Dominique Adolphe Grenet de Joigny, Étienne Xavier de Grisy, Eugénie Grun née Charpentier, Marie Claudine Félicie Guenot née Morvanchet, Georges François Guiaud, Jacques Guiaud, Louise Eudes de Guimard, Paul-Pierre Hamon, François Claude Hayette, Louis Casimir Henault, Adelina-Margarita Hertl, Alphonse Hervier, Frédéric Hierthès, Eugène Ernest Hillemacher, Jules Holtzappel, Léon Horsin-Deon, Charles Borromée Antoine Houry, Eloïse Caroline Huitel dite Vuitel, Pierre Paul Alois Hunin, Adolphe Joseph Huot, Georges Eugène Huot, Paul Louis Husson, Nélie Jacquemart née André, Eugène Pontus Jazet, Léon Job, Sophie Jobert, Jules Joly, Philippe Jolyet, Rodolphe Julian, Frederick Juncker, August Theodor Kaselowsky, Louis Katzenstein, Édouard Krug, Charles Labarre, Georges Henri Amédée Labouret, Jules-Louis Lacoste, Adis Las-Juinias, Jean-Paul Laurens, Marcel Gustave Laverdet, Joseph-Fortuné-Séraphin Layraud, Edmond Lebel, Léon Louis Leclaire, Émile Lecomte, Jules Lefebvre, Alexandre Legrand, Léonce Lelarge, Charles Joseph Lenoir, Ernest Louis Victor Jules L'Epine, Alphonse Joseph Hippolyte Leveau, Alfred Loudet, Jacques Joseph Léopold Loustau, Évariste-Vital Luminais, Dominique Antoine Magaud, Diogène Maillart, Théodore Pierre Nicolas Maillot, Eugène Jules Maison, Adolphe Martial-Potémont, Achille Louis Martinet, Émile Mascré, Oscar Pierre Mathieu, Paul Mathey, Claudius Charles Maugey, Sabine Mea, Eugène Médard, Jean-Louis-Ernest Meissonier, Gaston Mélingue, Lucien-Étienne Mélingue, Hugues Merle, Victor Louis Merlin, Charles Olivier Merson, Hippolyte Michaud, Henri-léon Michel, Gustave Mohler, Gustave Morin, Julius Moser, Jean-Pierre Moynet, Charles Müller, Jules Naudin, Victor Nehlig, Benjamin Netter, Léon Olivié, Dominique Papety, Félix Marie Parmentier, Marie-Edmée Pau, Charles Olivier de Penne, Henri Félix Emmanuel Philippoteaux, Paul Philippoteaux, Augustine Picard, François Louis Picart, Charles Marcel de Pignerolle, Auguste Victor Pluyette, Charles Poterin du Motel, Pierre Charles Poussin, Jules Quantin, Diodore Rahoult, Jules Ravel, Anatole Paul Ray, Henri Riballier-Chouppe, Gustav Richter, Jules Rigo, Carlos Esquivel y Rivas, Tony Robert-Fleury, Henryk Rodakowski, Émilie Rougemont, Théodore-Auguste Rousseau, Amélie Roussel, Amédée Rosier, Emma Blanche Roslin, Louis Rubio, Paul-Emile Saint-Marcel, Gaston Casimir Saint-Pierre, Eugénie Salanson, Philippe Sance, Paul Émile Sautai, Auguste Schenck, Joséphine Schiers, Félicie Schneider, Hippolyte Sebron, Alexandre Segé, Charles Sellier, Gilbert de Séverac, Jules Marie Sevestre, Franciszek Siennicki, Simonet, Charles Hippolyte Stefen Simonin, Alexandre Soldé, Jean Sorieull, Pankracy Sosnowski, Louis Ulysse Souplet, Émile de Specht, Félix Trutat, Jean-Baptiste Thévenet, Catherine Caroline Thévenin, Anne Marie Reine Thévenin, Xavier Tichit, Félix Trutat, Jules Emmanuel Valadon, Pierre Émile Auguste Veyssier, Émile Vernet-Lecomte, Henri François Jules de Vignon, François Vilarrasa, Eugène Villa, Eugène Villain, Alain Marie Michel Villeblanche, Victor Casimir Zier, Léontine Tacussel, Edmund Zabokrzewski, Emile Zipelius.

Artistes à rapprocher

Jean Alaux, Edgar Degas, Eugène Delacroix, Théodore Géricault, Pierre Narcisse Guérin, Ary Scheffer.

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