Créer, conserver et promouvoir l'Histoire de l'Art

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Catalogues raisonnés numériques

Jean et Jacqueline Lerat sont à l'origine de l'entrée de la céramique dans la grande Histoire de l'Art. Fins observateurs de la nature et du corps, ils ont renoué avec une pratique ancestrale de l'homme : façonner la terre et "Retrouver cette énergie qui pousse l'arbre, la plante et le caillou à être."

© Catalogue raisonné en cours de Jean & Jacqueline Lerat par leur famille.

Ce catalogue raisonné répertorie l'Oeuvre d'un lecteur gourmand de romans, un connaisseur avisé de cinéma et un sculpteur en photographie : ses images naissent de la lumière sur papier photo entre souvenir de la figure humaine et abstraction...

© One Arty Minute & Comité Henri Foucault

Disparu en 2005, Toni Grand demeure un des grands sculpteurs de sa génération. Souvent associé au mouvement Supports Surfaces, il s'en écartait bien volontiers pour creuser son propre sillon, jusqu'à représenter la France à la Biennale de Venise en 1982.

© One Arty Minute & Association Toni Grand - Avec le soutien de la Région Sud, du Conseil Départemental des Bouches-du-Rhône et de la Ville de Mouriès

Malaval a traversé la vie avec la fulgurance d'une comète et la détermination du kamikaze. Sur fond de musique rock. peindre est une gestuelle scénique, un riff de guitare. Ce catalogue raisonné lui rend hommage...

 

© One Arty Minute & les ayant-droits de l'artiste

Michel Potage est un artiste de la marge. Travaillant par cycles, il allie peinture et récit à travers le thème des lettres de Van Gogh à son frère Théo, celui des Aborigènes d’Australie (1978), les Tziganes (1988) ou les Inuits (1989) ou la poésie du quotidien et de la nature.

Irrévérencieux ? Souvent… Dernier des Surréalistes ? Certainement… Libertaire ? Assûrément… Mais l’art de Jean-Jacques Lebel, marqué par le Summer of love, est surtout un acte social et politique, un appel à la vie.

© Jean-Jacques Lebel artiste & One Arty Minute

La sculpture d’Isabelle Waldberg n’est jamais ni clairement figurative ni résolument abstraite ; elle est, selon sa propre dénomination « irréaliste », mélange d’observation et d’imagination dans un constant renouvellement des formes, une infatigable recréation du réel.

© Comité Isabelle Waldberg & Archives Waldberg avec One Arty Minute et le soutien de l'ADAGP

Entre poétique et politique, il y a peu. Et Serge III l'avait compris. Membre de Fluxus, la subversion de l'Art devient son arme et ses actions autant de moments de déstabilisation de la société : jouer à la roulette russe, détourner un bus, finir en prison...

© One Arty Minute & ayant droit de Serge III Oldenbourg

Evoquer Joël Stein, c'est parler du Cinétisme et du G.R.A.V. Formé dans l'Atelier de Fernand Léger, Joël Stein appartient à une génération de peintres chercheurs, mêlant Art et Sciences avec allégresse et humour.

Horacio Garcia Rossi est l'homme des persistances rétiniennes et de la lumière. Compagnon de route de Joël Stein, Morellet, Sobrino, Yvaral et Le Parc au sein du G.R.A.V., le catalogue raisonné d'Horacio Garcia retrace son parcours depuis l'Argentine jusqu'à Paris.

© Archives Horacio Garcia Rossi & Galerie Lélia Mordoch avec l'aide de One Arty Minute

Connaissez-vous le Chromocinétisme ? Gregorio Vardanega et sa femme Martha Boto en sont les inventeurs et les théoriciens : un art né du Cinétisme et qui après avoir projeté la couleur, met des objets de couleurs en mouvement.

© Succession Martha Boto & One Arty Minute

Martha Boto est née en Argentine et est formée aux Beaux Arts de Buenos Aires.  Brillante, elle se rapproche assez rapidement des tendances de l'Art Concret et de MADI dont Arden Quin assure la promotion. Définitivement installée en France à partir de 1959, elle développe un art chromocinétique avec Gregorio Vardanega.

© Succession Martha Boto & One Arty Minute

Premier Grand Prix de Rome, pensionnaire de la villa Médicis sous la direction de Balthus et Président du Groupe MADI créé par Carmelo Arden Quin de 1996 à 2008, Joël Froment est l'artiste de la combinaison des formes et des couleurs. Sous la précision de ses outils, droites, tangentes,  s'assemblent et laissent entrevoir la multiplicité des combinaisons géométrie-couleurs.

© Succession Joël Froment & One Arty Minute - avec le soutien de l'ADAGP

Jean Legros appartient à la même génération que Manessier. Pour qualifier son travail et celui d'Aurélie Nemours, il avance l'idée d'Energétisme, l'énergie de la couleur. Ce catatogue raisonné retrouve ses Séries musicales, ses grues de Beaubourg et ses Nuages...

© One Arty Minute & la Succession de l'artiste

Chubac est l'artiste de la simplicité absolue. Mais derrière la sobriété de son travail, se cache une recherche profonde qui le mène sur les routes de l'Egypte et de la Grèce avant les hauteurs de Nice. C'est là que pendant  50 ans, il vit sa poésie et construit ses géométries : du plexiglas, des cartons, des ficelles, assemblés pour jouer avec les rayons du soleil.

Né à Nice où il se forme aux Arts Décoratifs, Claude Gilli prend l'ascenceur de l'Ecole de Nice pour devenir un artiste incontournable de la Côte d'Azur : une oeuvre Pop Art, joyeuse et colorée.

© Archives Claude Gilli & One Arty Minute

Vladimir Yankilevsky est né dans l'ancienne Union soviétique. Il devient un artiste Anticonformiste. Son catalogue raisonné réunit son Œuvre et nous dit quelque chose de l'être humain et de son espace, de son enfermement, ses mutations et ses passions...

© Succession Vladimir Yankilevsky & One Arty Minute

Le peintre américain néo-expressionniste Norris Embry (1921-1981) a une production estimée entre 8.000 et 10.000 œuvres. La succession Norris Embry, représentée par l'expert Thomas Morin-Williams prépare actuellement le catalogue raisonné de l'artiste.

© Norris Embry estate / expert@morinwilliams.com

Jean-Paul Thaéron combine formes et couleurs depuis ses débuts dans le groupe Finistère. De son approche programmatique émergent des signes, des mondes, des mythologies.

© One Arty Minute

Le catalogue raisonné de Michel Mousseau s'étend sur plus de 60 années de création, évoluant progressivement vers la non figuration, supprimant les détails au profit de la forme, de la lumière et de la couleur. 

© Atelier Michel Mousseau & One Arty Minute

Miroir mon beau miroir... A travers l'objectif, les photos d'artistes de Philipp Hugues Bonan, fonctionnent en miroir à l'existence et saisissent, avec une lumière naturelle, l'âme de l'observé pour faire oeuvre d'art.

 

 

© Philipp Bonan & One Arty Minute

Fils d'agriculteurs mayennais, Louis Derbré découvre la sculpture à Paris dans une maison d'édition d'art. Il s'y essaie : sa première sculpture reçoit le prix Fénéon. Sa première exposition « Rodin, Maillol, Derbré » le fait entrer dans la cour des grands artistes. En 1972, "La terre", bronze de 9 mètres de haut orne la place Ikebukuro à Tokyo. 

Ce catalogue raisonné lui rend hommage.

© One Arty Minute & le Fonds de dotation Louis Derbré

Achiam est un sculpteur de l'Ecole de Paris. Puisant dans la grande tradition des sculpteurs assyriens et sumériens, ses sculptures en taille directe s'écartent du figuratif pour dire l'amour, la joie, la tristesse, la révolte de l'homme.

© Ayants droit Achiam & One Arty Minute

Aquarelles, huiles, fusains, sculptures, mosaïques, vitraux, bijoux,... L'oeuvre de l’artiste luxembourgeois est protéiforme, mais se caractérise cependant  par une profonde unité. Le contrôle parfait des volumes, l'exubérance des couleurs, la profusion de la lumière créent cet éblouissement enchanté auquel ne saurait se dérober l'oeil du spectateur.

© Succession Adolphe Deville & One Arty Minute

Marin-Marie est né en Mayenne, à Fougerolles-du-Plessis. Il est influencé par sa mère, artiste peintre, élève d'Henri Harpignies, et par la découverte des îles Chausey où son père, passionné de navigation, l'initie dès son plus jeune âge à la mer.

© One Arty Minute & Association Marin Marie en partenariat avec les Archives départementales de la Manche

Henri Hayden arrive en France en 1907. D'abord héritier de Gauguin et de Cézanne, il se reconnaît bientôt dans le Cubisme et intègre la galerie de l'Effort Moderne de Léonce Rosenberg. 

© Comité Henri Hayden & One Arty Minute

Etienne Beothy est un maillon essentiel dans le renouveau de la vision de ce que doit être l’Art au début du 20e siècle. Ardent militant de la théorie du nombre d’or, le sculpteur d'origine hongroise participe au groupe Abstraction-Création avant de participer à la création du salon des Réalités Nouvelles en 1946.

© Succesion Beothy, Comité Beothy & One Arty Minute

Le regard de Grobéty est celui du premier humain qui voit mentalement le monde tel qu'il apparait à ses yeux, c'est un regard qui éveille la conscience

© Archives Claude Grobety & One Arty Minute
TOUS LES
catalogues raisonnés

Oeuvres d'art à découvrir
Keith Haring, Photographie de Philip Hugues Bonan
Keith Haring

Keith Haring, né en 1958 et décédé en 1990, était un artiste américain emblématique du pop art et du street art. Connu pour ses dessins aux lignes simples et ses personnages colorés, souvent porteurs de messages sociaux et politiques, Haring a marqué l'art contemporain par son style accessible et engagé, touchant des sujets tels que l'amour, la guerre, et la lutte contre le SIDA.

 

 

 

La rencontre entre Keith Haring et Philipp Hugues Bonan.

J’ai rencontré Keith Haring par un hasard. En 1989, je n’avais pas encore entendu parler de lui. Il était pourtant une star aux États Unis. Il était avec Warhol et Basquiat la star de New York. En France, on ne le connaissait pas. Il faisait des expositions mais était connu seulement d’un petit milieu proche de Jean-Charles de Castelbajac.


C’est quelques mois après sa mort, à la diffusion d’une émission d’une heure qui lui était consacrée sur Canal +, que j’ai vraiment réalisé la chance que j’avais eue de pouvoir le photographier.


Je venais d’arriver à Paris. Je n’avais pas d’appartement et mon cousin me laissait le sien, un tout petit appartement au 26 rue de Cotte.  Sur le même pallier habitait également un gars très branché,  Ludovic L. Il portait des blousons de cuir avec des têtes de mort. Il avait une Harley et il y avait chez lui un défilé permanent de top modèles. Un jour, je suis allé frapper à sa porte et, dans le fil de la conversation, je lui ai montré mes photos de Zao Wou-Ki et de Jean Messagier. A un moment, il m’a dit : « Tu sais, moi, j'ai un copain peintre, je peux te le faire photographier, si ça te dit". Et là dessus, il me dit, attention, « ça va être la plus grande star que tu auras jamais photographiée ».


Cette scène s’était déroulée en février ou mars 1989 et rendez-vous était pris pour le mois de juin suivant où Haring devait  peindre un ballon dirigeable dans un hangar avec le peintre Erik Boulatov. La veille du jour J, ne sachant pas si la séance aurait lieu, j’ai frappé à la porte de Ludo. J’y ai rencontré la galeriste new yorkaise de de l’artiste qui a regardé mes photos et a dit: « Ok ok… »


Le lendemain, j’étais sur les lieux. Mais je n’étais pas seul.  Il y avait d’autres journalistes, des photographes. J’ai senti qu’ils se moquaient de moi parce que j’avais un vieux Rolleiflex des années 50 quand eux avaient des appareils modernes. Quand Keith Haring  est arrivé,  j'ai senti que c'était important parce qu'il était entouré par deux gars. Il était grand et charismatique. Et je me suis dit : "wow, ce gars là, il ne vient pas tout seul". J’ai attendu mon tour.  Mon voisin Ludo était là. Il me présente à lui. J'avais une boîte de photos. J’y avais mis un très beau portrait de Jean Miotte et une quinzaine de tirages 30-40. Je lui ai montré et il m'a dit je me débarrasse des photographes de presse et on aura plus de temps. Et là, il fait quelques petites photos, clic, clic, clic au flash avec tous les photographes.


Il est ensuite venu vers moi et je crois qu’il a posé, je ne sais pas,  au moins 20-25 minutes pour moi.  Après que j'ai fini mes photos, les autres journalistes sont venus me voir. T'es qui toi d'abord ? Tu travailles pour quelle agence ? Ils étaient un peu jaloux.

Ces photos sont devenues iconiques. Il y en a une également où il met son pouce sous le menton. C'est assez unique. J'avoue qu'on ne réussit pas beaucoup de photos dans sa vie, mais celle-ci, je crois que je l'ai réussie.

 

 

Philipp Hugues Bonan photographe, portrait d'Arman
Arman

Arman, né en 1928 et décédé en 2005, était un artiste franco-américain, cofondateur du Nouveau Réalisme. Il est célèbre pour ses accumulations d'objets et ses sculptures faites à partir d'objets de consommation qu'il compactait, découpait ou brûlait, questionnant ainsi la société de consommation et la notion de valeur. Avec son approche originale, Arman a transformé les objets du quotidien en œuvres d'art, devenant une figure majeure de l'art contemporain.

 

Les rencontres entre Arman et Philipp Hugues Bonan

Lorsque l’on voit les photos que j’ai prises d’Arman, on pourrait croire que je suis intime avec lui. Pas du tout en fait. Je l’ai photographié à plusieurs reprises lorsque j’avais 20 ans. Je n’étais pas aussi ami avec lui qu’avec André Villers. La première fois que l’ai rencontré à Vence, j’ai dû montrer patte blanche et dire que j’étais l’élève d’André Villers. Je lui ai montré les photos que j’avais.  César, Hartung. Et là, il accepte de poser. Et tac, je rentre dans l'intimité, en quelque sorte, le temps de la séance. Et puis je suis invité à déjeuner. Je suis à coté de Jean Ferrero. Il y avait aussi l’assistant d’Arman. C’était assez rigolo. J’ai aussi une photo qui reste de ce déjeuner où il est en peignoir, où il descend ses lunettes sous le nez. C'est une photo assez rigolote. Je me rappelle que pendant ce déjeuner, il parlait de César et d’histoires qui tournaient autour de « moi j’écrase un téléphone… moi j’en accumule et je gagne plus que toi parce que mon oeuvre vaut plus. Il était espiègle.
Je l’ai revu quand je suis allé à New York en 1993. Il m’a fait visiter sa maison. C’était extraordinaire. J’étais assis en face de lui et il me disait « Basquiat  était assis à votre place il n’t a pas si longtemps ». Et puis la maison d’Arman à New York était énorme, sur quatre étage avec un ascenseur. A chaque étage, c’était soit la maison, soit un atelier. Et puis j’ai aussi cette photo… Il y avait un perroquet. Il l’a pris dans ses mains pour le poser sur moi. Cette photo est assez unique : Arman avec un perroquet…

 

Hans Hartung, Photographie de Philip Hugues Bonan
Hans Hartung

Hans Hartung, né en 1904 et décédé en 1989, était un peintre franco-allemand considéré comme une figure clé de l'abstraction lyrique. Son œuvre, marquée par des gestes expressifs et des techniques innovantes comme le grattage et le spray, explore la spontanéité du geste et l'énergie du trait, créant des compositions vibrantes et dynamiques.

 

Les rencontres entre le peintre Hans Hartung et Philipp Hugues Bonan

Hans Hartung est l'un des premiers grands artistes que j'ai photographiés. Notre rencontre s’est déroulée  grâce à André  Villers dont j’étais l’élève. André Villers était très, très, très, très proche de Hans Hartung. Il faisait des photos de lui depuis des années de lui. Et c'est vrai qu'à chaque vernissage  André Villers venait soutenir son ami  Je me souviens avoir entendu une discussion entre André et Hans Hartung. André, lui disait « c’est fort, c'est fort ». Et Hartung, de répondre « tiche, tiche, fortiche ». 


Et voilà, première rencontre avec Hartung : je suis invité par André Villers dans l’ancien Palais des Festivals pour une exposition où sont présentés 250 artistes.  C’est ma toute première exposition et l’invité d’honneur n’est autre que Hans Hartung. J’ai fait mes toutes premières photos de Hartung pendant ce vernissage. Mais la photo la plus emblématique que j’ai faite a été prise au château d’Entrecasteaux où Hans Hartung exposait des photos. Je me trouvais là avec mon père et André Villers. Je me trouve un moment seul devant lui et voilà que je lui raconte ma vie en lui disant que je suis l’élève d’André Villers, que j’apprends la photo, que c’est ma passion, que je vais faire comme lui et photographier les artistes.  Après ma tirade, il y a eu un blanc. Hartung ne parlait pas beaucoup et comme il était à la fin de sa vie, je n’étais pas sûr qu’il ait écouté ni même compris qui j’étais. Et puis tout à coup, il s’est penché vers moi, a mis sa main en avant et m’a dit tout doucement  : Bonne chance ! Incroyable, Hans Hartung me souhaitait bonne chance pour ma vie d’artiste.


J’ai une autre anecdote à son sujet. J’avais fait des photo et je souhaitais développer mon film. Et là, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, horreur, horreur absolue. Le film n'est pas assez développé. Je file dans un magasin de photos. Et là je dis « Monsieur, monsieur, j'ai un problème. Regardez, ce film n'est pas assez développé.  Existe-t-il un produit faire en sorte qu'il y ait un peu plus de noirs dans les blancs ? » Il m’a donné un produit qui depuis est interdit à l’utilisation parce que très nocif. Je retourne au labo et Eurêka, miracle, le négatif se rehausse un petit peu et j'arrive à avoir plusieurs belles photos. Le croustillant de l’histoire c’est que lorsque j’étais dans ce magasin photo, j’avais dit au vendeur : « Vous vous rendez compte, c’est Hans Hartung, il ne faut pas que je rate ces photos ». Et le gars de me répondre « Vous savez, moi, le cinéma, je n’y connais rien..."